Chienne. Ou comment un si petit livre peut te mettre une si grande claque.
Comment te retourner, avec si peu de mots.
Chaque pages, chaque paragraphes, est un uppercut. Pleine gueule.
Décrire l'horreur, l'humiliation, la peur, les sévices, l'emprise..
Sa soeur et elle, les filles-
chiennes, le père : papa-ogre, la mère, les bras le long du corps, toujours pleine de foutre.
Les rêves ? ...des voeux de mort.
C'est hard, brut, ça ne peut pas être autrement.
Et cette écriture... Une poésie noire. Noire et rageuse. C'est beau, malgré l'horreur...beau et douloureux.
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