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Critique de Kochka94


Même type de revisite que dans le tome précédent, cette fois, nous sommes dans La Belle et la Bête, présenté ici sous la forme le Belle et le Bête, bien entendu.

Sous fond de conception/création de cosmétiques révolutionnaires, nous suivons Belle, fils cadet de la famille Belleterre et chimiste de talent de la société familiale, qui se retrouve forcé de travailler pour la méga boite concurrente, Beauty Inc, son père alcoolique l'ayant perdu au poker (en fait, il a perdu la société mais le jeune chimiste ayant été repéré par le PDG de Beauty Inc, il a "échangé" la société contre le jeune homme). Signalons tout de même que ce pauvre chimiste s'est vu être "offert" par papounet et ses deux frères ainés à un investisseur qui pensait pouvoir le culbuter avant d'investir dans la société familiale.

Le PDG de Beauty Inc, Magnus Strong, sorte de Joffrey de Peyrac sans la boiterie (et oui, chacun ses références), offre à Belle, obligé de quitter son Orégon natal pour venir travailler à New York, un logement (tenu par ce cher M. Pennymaker) rempli de voisins attachants et clairvoyants et un poste en or au sein de sa société (ayant quand même dans l'idée de le culbuter lui aussi, ne nous le cachons pas). Mais bien sûr, Magnus étant un homme pensant qu'un jeune homme aussi beau-talentueux-intelligent-charmant-sexy-sensuel-rayez la mention inutile ou pas, il tente de lui coller un autre chimiste dans les pattes, faisons preuve d'abnégation, avant que Belle ne se jette à son cou, ayant enfin admis qu'il n'est pas contre le fait de se taper le patron (qui a entre temps sauvé les miches de sa meilleure amie), nous offrant alors quelques belles performances sexuelles.

Une petite machination d'un actionnaire de Beauty Inc couplée au retour de papounet et ses deux frangins, un super chauffeur, un chirurgien mexicain, et hop, ils vécurent heureux jusqu'à....

En fait, pris au quarantième degré, ça pourrait être amusant, mais il aurait fallu pousser la caricature, sauf que c'est du premier degré... Comme le précédent, le gros avantage de ce roman est qu'il est très court (et du coup, ma PAL a (légèrement) diminué). Next.
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