Ce troisième livre de
Kevin Lambert se classe, pour ma part, au deuxième rang, juste derrière
Querelle de Roberval. On y retrouve le style unique, agile et habile de l'auteur pour notre plus grand plaisir. Cette fois, après avoir flirté avec le syndicalisme, Lambert nous amène dans les hautes sphères de la société, dans l'architecture de luxe et la richesse à profusion. On assiste, impuissants, à la descente aux enfers de Céline, PDG des ateliers C/W qui comme plusieurs, deviendra la cible d'un tribunal populaire (encore une fois, l'auteur parvient à être fortement d'actualité). Malgré toutes ses forces, j'ai trouvé que le livre avait certaines longueurs (2 en fait) au début et à la fin, toutes deux lors de fêtes, qui m'empêchent d'y coter 5 astres. 4 étoiles et plusieurs heures de plaisir. Une valeur sûre.
Commenter  J’apprécie         270