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Critique de oran
De multiples et bonnes raisons pour apprécier ce roman historique.
En premier lieu, l'auteur, Jean-Marie Lamblard, né à Tavel, près d'Avignon, décédé en 2018, une vie foisonnante, d'homme passionné , d'écrivain de grande culture, puis cette histoire inspirée par les écrits de Trogue Pompée (Gnaeus Pompeius Trogus) , écrivain, historien né en pays Voconces, à Vasio Vocontiorum : Vaison-la-Romaine, ensuite (et non enfin), le roman lui-même. Certaines scènes d'agonie, de combat sont effroyables de vérité, ( quelques fois accablantes à lire) le style puissant , la richesse du vocabulaire percutent le lecteur, donnent un rythme trépidant au récit , le réalisme est omniprésent.
Le décor : la Celtique méditerranéenne avec ses couleurs saturées.
L'époque : 450 ans avant le changement d'ère.
Les odeurs sont fortes : parfums capiteux des plantes chauffées à blanc mais aussi remugles, miasmes , ils sont si bien décrits, qu'on ressent la puanteur envahir notre environnement !
Et puis les mouches, omniprésentes, les diptères sont mises en scène avec une monstrueuse puissance « vrombissante », on reconnaît là, la science de l'auteur qui fut, aussi, ethnozoologiste.
Par cette épopée romanesque nous est conté un pan de l'Histoire de cette terre qui deviendra Provence, une guerre opposant Celtes méridionaux aux colons grecs implantés à Massilia .
En premier lieu, l'auteur, Jean-Marie Lamblard, né à Tavel, près d'Avignon, décédé en 2018, une vie foisonnante, d'homme passionné , d'écrivain de grande culture, puis cette histoire inspirée par les écrits de Trogue Pompée (Gnaeus Pompeius Trogus) , écrivain, historien né en pays Voconces, à Vasio Vocontiorum : Vaison-la-Romaine, ensuite (et non enfin), le roman lui-même. Certaines scènes d'agonie, de combat sont effroyables de vérité, ( quelques fois accablantes à lire) le style puissant , la richesse du vocabulaire percutent le lecteur, donnent un rythme trépidant au récit , le réalisme est omniprésent.
Le décor : la Celtique méditerranéenne avec ses couleurs saturées.
L'époque : 450 ans avant le changement d'ère.
Les odeurs sont fortes : parfums capiteux des plantes chauffées à blanc mais aussi remugles, miasmes , ils sont si bien décrits, qu'on ressent la puanteur envahir notre environnement !
Et puis les mouches, omniprésentes, les diptères sont mises en scène avec une monstrueuse puissance « vrombissante », on reconnaît là, la science de l'auteur qui fut, aussi, ethnozoologiste.
Par cette épopée romanesque nous est conté un pan de l'Histoire de cette terre qui deviendra Provence, une guerre opposant Celtes méridionaux aux colons grecs implantés à Massilia .
