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Critique de FloraRol
Un peu de littérature jeunesse pour sortir de mes lectures habituelles, mais surtout, n'ayons pas peur de le dire, pour valider l'item princesse du challenge multi-défis. Journal intime de Maria Antonia Josepha Johanna de Hasbourg-Lorraine, nous suivons ici les réflexions et confessions de cette toute jeune fille, future reine de France, depuis son enfance à la cour de Vienne, jusqu'à ses premières années à Versailles. le récit s'arrête à la mort de Louis XV.
Le premier quart ne m'a pas vraiment convaincue et, si je n'avais pas poursuivi ma lecture, j'aurais pu très vite classer ce texte comme une fiction peu intéressante, prenant Marie-Antoinette comme prétexte pour avoir une princesse dont on invente le journal intime et plaire aux pré-ados. Puis, je suis véritablement entrée dans le récit et je me suis laissée emporter par le journal de Marie-Antoinette. J'ai beaucoup aimé découvrir sa relation avec sa mère, l'intransigeante Marie-Thérèse archiduchesse d'Autriche, sa relation avec son époux Louis Auguste, l'histoire de la Comtesse du Barry... J'ai eu beaucoup de peine pour cette toute jeune fille, passant d'une prison dorée à une autre, à qui l'on impose tant de codes (la fameuse « étiquette ») et de contraintes et qui manque cruellement d'espaces de liberté. Parfois gênée de ne pas savoir jusqu'où allait la réalité historique et où commençait la fiction, j'ai été rassurée et même très agréablement surprise, de découvrir en fin de livre à quel point l'auteure, américaine mais passionnée d'Histoire de France, s'était documentée pour coller au plus près de la réalité historique.
Cette lecture m'aura encore plus donné envie de me plonger dans Marie-Antoinette de Stefan Zweig, qui patiente dans ma PAL depuis bien trop longtemps.
Le premier quart ne m'a pas vraiment convaincue et, si je n'avais pas poursuivi ma lecture, j'aurais pu très vite classer ce texte comme une fiction peu intéressante, prenant Marie-Antoinette comme prétexte pour avoir une princesse dont on invente le journal intime et plaire aux pré-ados. Puis, je suis véritablement entrée dans le récit et je me suis laissée emporter par le journal de Marie-Antoinette. J'ai beaucoup aimé découvrir sa relation avec sa mère, l'intransigeante Marie-Thérèse archiduchesse d'Autriche, sa relation avec son époux Louis Auguste, l'histoire de la Comtesse du Barry... J'ai eu beaucoup de peine pour cette toute jeune fille, passant d'une prison dorée à une autre, à qui l'on impose tant de codes (la fameuse « étiquette ») et de contraintes et qui manque cruellement d'espaces de liberté. Parfois gênée de ne pas savoir jusqu'où allait la réalité historique et où commençait la fiction, j'ai été rassurée et même très agréablement surprise, de découvrir en fin de livre à quel point l'auteure, américaine mais passionnée d'Histoire de France, s'était documentée pour coller au plus près de la réalité historique.
Cette lecture m'aura encore plus donné envie de me plonger dans Marie-Antoinette de Stefan Zweig, qui patiente dans ma PAL depuis bien trop longtemps.
