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Critique de kaa
Une avalanche de vérité venant des cimes de l'Himalaya jusque dans nos neurones les plus intimes, voire –si on veut bien l'accueillir– dans notre for intérieur.
Par sa simplicité-même ainsi que ses rappels esthésiques, l'auteur laisse transparaître avec couleur et clarté, les expériences de sa propre vie, au préalable prosaïques et pénibles, puis, petit à petit (page par page pour le lecteur), qu'elle voit se transformer en souvenirs ensoleillés d'amour. le lecteur aussi subit ce rayonnement, grâce aux aperçus de la réalité que lui confie son précepteur, appelé simplement ‘Bābājī', un homme –et non seulement– qui a été touché jusqu'au fond de l'âme par le sien, un certain ‘Swāmījī', dont le lecteur découvrira l'importance pour lui-même au déroulement de l'histoire. Les paysages auxquels l'auteur nous expose ne sont guère touristiques. Ils témoignent d'une existence millénaire, voire guère-croyablement davantage, qui perdure toujours et à jamais –pour la plupart insoupçonnée par le commun des mortels. Ne cherchant rien d'autre que de partager ses richesses récoltées le long de sa route, telle une enfant qui donne son propre bonheur à tout un chacun et à coeur joie, l'auteur étale ces joyaux : à nous de les cueillir et chérir selon nos propres lumières et ardeurs.
Par sa simplicité-même ainsi que ses rappels esthésiques, l'auteur laisse transparaître avec couleur et clarté, les expériences de sa propre vie, au préalable prosaïques et pénibles, puis, petit à petit (page par page pour le lecteur), qu'elle voit se transformer en souvenirs ensoleillés d'amour. le lecteur aussi subit ce rayonnement, grâce aux aperçus de la réalité que lui confie son précepteur, appelé simplement ‘Bābājī', un homme –et non seulement– qui a été touché jusqu'au fond de l'âme par le sien, un certain ‘Swāmījī', dont le lecteur découvrira l'importance pour lui-même au déroulement de l'histoire. Les paysages auxquels l'auteur nous expose ne sont guère touristiques. Ils témoignent d'une existence millénaire, voire guère-croyablement davantage, qui perdure toujours et à jamais –pour la plupart insoupçonnée par le commun des mortels. Ne cherchant rien d'autre que de partager ses richesses récoltées le long de sa route, telle une enfant qui donne son propre bonheur à tout un chacun et à coeur joie, l'auteur étale ces joyaux : à nous de les cueillir et chérir selon nos propres lumières et ardeurs.
