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Critique de bbpoussy
Antoine Laurain est un auteur qui a l'art de me surprendre surtout sur les thèmes qu'il choisit.
Je me demande où il va m'amener avec ce titre.
Je ne lis même pas la quatrième de couverture.
Le rabat qui recouvre la couverture me plait : un télescope, cupidon et la lune sous un ciel étoilé.
Il nous présente deux histoires, qu'il alterne à chaque chapitre et qui auront pour point commun un télescope.
L'histoire d'un agent immobilier en 2012, divorcé, père d'un garçon et qui est perdu sans le savoir. C'est lui qui va trouver le télescope.
250 ans plus tôt, ce même télescope est entre les mains de l'astronome du roi Guillaume Gentil de la Galaisière. Lui cherche à voir Vénus passant devant le soleil. Evénement rarissime.
Je trouve, maintenant que je l'ai lu, que la quatrième de couverture en dit trop.
Il faut se laisser porter par la poésie lors des chapitres de Guillaume.
L'importance de savourer tout ce que la nature a de beau à nous offrir. Fauve, flore. Terre, mer et ciel. Les rencontres aussi.
Sur les chapitres sur Xavier, c'est plus le côté romantique et maladroit du personnage qui fait sourire.
Bien sûr, l'attente est longue pour découvrir à travers ce télescope ce que ces deux personnages souhaitent voir.
Mais ce qu'ils vont trouver à côté aura le mérite de durer plus d'une heure.
Comme dit l'auteur : "Le prochain transit de Vénus aura lieu en 2117. Vous, qui lisez ces lignes, ne serez plus là. Et moi non plus. Mais ce n'est pas grave. Nous sommes ici. Maintenant. J'écris. Vous lisez.
Nous respirons.
Nous sommes vivants.
Tout va bien."
Je me demande où il va m'amener avec ce titre.
Je ne lis même pas la quatrième de couverture.
Le rabat qui recouvre la couverture me plait : un télescope, cupidon et la lune sous un ciel étoilé.
Il nous présente deux histoires, qu'il alterne à chaque chapitre et qui auront pour point commun un télescope.
L'histoire d'un agent immobilier en 2012, divorcé, père d'un garçon et qui est perdu sans le savoir. C'est lui qui va trouver le télescope.
250 ans plus tôt, ce même télescope est entre les mains de l'astronome du roi Guillaume Gentil de la Galaisière. Lui cherche à voir Vénus passant devant le soleil. Evénement rarissime.
Je trouve, maintenant que je l'ai lu, que la quatrième de couverture en dit trop.
Il faut se laisser porter par la poésie lors des chapitres de Guillaume.
L'importance de savourer tout ce que la nature a de beau à nous offrir. Fauve, flore. Terre, mer et ciel. Les rencontres aussi.
Sur les chapitres sur Xavier, c'est plus le côté romantique et maladroit du personnage qui fait sourire.
Bien sûr, l'attente est longue pour découvrir à travers ce télescope ce que ces deux personnages souhaitent voir.
Mais ce qu'ils vont trouver à côté aura le mérite de durer plus d'une heure.
Comme dit l'auteur : "Le prochain transit de Vénus aura lieu en 2117. Vous, qui lisez ces lignes, ne serez plus là. Et moi non plus. Mais ce n'est pas grave. Nous sommes ici. Maintenant. J'écris. Vous lisez.
Nous respirons.
Nous sommes vivants.
Tout va bien."
