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Critique de isanne
Il y a longtemps que je voulais découvrir l'écriture de J.M.G. le Clézio. Pourquoi ne l'ai-je pas fait plus tôt ? C'est la seule question que je me pose après la lecture de ce livre. J'ai tellement aimé à la fois l'écriture, la construction du récit et le sujet que je regrette d'avoir attendu d'être un peu plus disponible pour cette découverte, mais, en même temps, le bonheur, c'est que je sais avoir plein de belles lectures qui m'attendent avec cet écrivain !
La trame du roman est l'histoire de Bitna étudiante pauvre qui vient faire ses études à Séoul. Pour acquérir un peu de liberté, elle accepte un travail rémunéré auprès d'une personne atteinte d'une maladie dégénérative : lui raconter des histoires... et lui permettre de sortir, grâce à l'imagination, de ce corps devenu prison.
Un échange de liberté, en somme, celle de Bitna qui acquiert son indépendance vis à vis d'autrui et celle de Salomé qui voyage grâce aux histoires racontées.
Toutes les histoires dites par Bitna sont partiellement inventées, toutes pourraient se rejoindre au travers de certains personnages, toutes parlent d'une forme ou l'autre de liberté et également de la solitude. Je vous laisse découvrir... Celle qu'on trouve, celle qu'on perd et toutes parlent de ceux qui nous quittent et de leur présence qui demeure malgré tout dans nos vies.
J'ai énormément aimé le fait que J.M.G. le Clézio parle des êtres humains, de la nature, des animaux, de la vile comme si tout était indissociable, Il y a une telle poésie dans ce récit et pourtant la vie y est souvent pleine de tourments.
Comme les pigeons de l'histoire, avec ce roman, J.M.G. le Clézio nous emporte dans le ciel, porté par les vents -ou ses phrases - et nous libère du poids de notre quotidien pendant le temps que dure cette lecture.
Un très , très beau moment.
La trame du roman est l'histoire de Bitna étudiante pauvre qui vient faire ses études à Séoul. Pour acquérir un peu de liberté, elle accepte un travail rémunéré auprès d'une personne atteinte d'une maladie dégénérative : lui raconter des histoires... et lui permettre de sortir, grâce à l'imagination, de ce corps devenu prison.
Un échange de liberté, en somme, celle de Bitna qui acquiert son indépendance vis à vis d'autrui et celle de Salomé qui voyage grâce aux histoires racontées.
Toutes les histoires dites par Bitna sont partiellement inventées, toutes pourraient se rejoindre au travers de certains personnages, toutes parlent d'une forme ou l'autre de liberté et également de la solitude. Je vous laisse découvrir... Celle qu'on trouve, celle qu'on perd et toutes parlent de ceux qui nous quittent et de leur présence qui demeure malgré tout dans nos vies.
J'ai énormément aimé le fait que J.M.G. le Clézio parle des êtres humains, de la nature, des animaux, de la vile comme si tout était indissociable, Il y a une telle poésie dans ce récit et pourtant la vie y est souvent pleine de tourments.
Comme les pigeons de l'histoire, avec ce roman, J.M.G. le Clézio nous emporte dans le ciel, porté par les vents -ou ses phrases - et nous libère du poids de notre quotidien pendant le temps que dure cette lecture.
Un très , très beau moment.
