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Critique de de


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13 février 2012
Si des catastrophes peuvent être naturelles, ce n'est pas le cas de leurs conséquences sociales.
Par ailleurs, les impacts d'un ouragan, d'un tremblement de terre, d'un tsunami sont le plus souvent liés aux politiques d'aménagement ou de désagrégation du territoire, de l'environnement.
Dans le cas de la Nouvelle-Orléans, toutes les populations n'ont pas également été touchées par Katrina (surnom donné à un ouragan, pour l'humaniser probablement !). Les riches quartiers et leurs habitant-e-s blanc-he-s ont peu soufferts.
Mais la majorité de la population, les Afro-Américain-e-s, habitant-e-s des quartiers les plus exposés, ont vécu un cauchemar, un désastre humain, aggravé par l'incurie du gouvernement républicain de G. Bush.
La reconstruction est oujourd'hui bien avancée, elle s'est traduite par une exclusion renforcée, un "nettoyage ethnique" spacial, des populations Afro-Américaines.
Bienvenue dans la face cachée du rêve nord-américain.
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