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Critique de Nessalivresque
J'ai mis longtemps pour le lire mais je l'ai apprécié jusqu'à la fin.
Ce roman est dense, aussi bien dans sa taille (647p) que dans son contenu. Suivre Umo dans sa vie quotidienne, somme toute banale, a été plaisant. J'ai trouvé que le voir évoluer et prendre conscience de son monde et de ce qui fait ses règles, était une bonne idée pour nous présenter cette utopie.
Ce que l'auteur nous propose m'a fait rêver. Néanmoins la partie sur les animaux qui, normalement, ne sont plus des ressources mais qu'on abat quand même pour les manger a été très dure à lire et contradictoire avec ce qui était annoncé au départ. C'est ce qui a été rédhibitoire pour beaucoup de mes camarades de LC et je comprend, mais j'ai bien fait de continuer ma lecture parce qu'il y a tellement d'idées intéressantes pour notre avenir.
Les réflexions sur la famille m'ont particulièrement intriguée et questionnée. Je crois que c'est ce qui m'a réellement plu. Surtout à travers le personnage de Gob qui remet le système en question. Elle a pourtant été un personnage très agaçant au début.
Le principe de revenu universel pour toute personne avec responsabilité de participer aux tâches quotidiennes, repas, cultures du jardin, ménages... Pouvoir changer de travail selon notre évolution, de ville selon notre envie, sans qu'on ne nous en veuille, c'est excellent. La bienveillance des communautés, la vie collective tout en acceptant l'individu, un rêve !
La déclaration d'Antonia n'est pas parfaite mais laisse à envisager un futur où l'humain s'est recentré sur l'essentiel, tout en n'oubliant pas de minimiser son empreinte sur le monde dans lequel il ne fait que passer.
Je sais que certain.e.s ont vu cette histoire comme une succession d'interdits mais je fais partie de cell.eux qui pense qu'imposer des règles de vie surtout en collectif, n'est pas une mauvaise chose. D'ailleurs la fin en explique très bien les choix.
Petit bémol pour les nombreuses coquilles qui gâchent un peu la lecture. Une relecture pour une future réimpression serait la bienvenue surtout que ce texte mérite plus d'attention.
Ce roman est dense, aussi bien dans sa taille (647p) que dans son contenu. Suivre Umo dans sa vie quotidienne, somme toute banale, a été plaisant. J'ai trouvé que le voir évoluer et prendre conscience de son monde et de ce qui fait ses règles, était une bonne idée pour nous présenter cette utopie.
Ce que l'auteur nous propose m'a fait rêver. Néanmoins la partie sur les animaux qui, normalement, ne sont plus des ressources mais qu'on abat quand même pour les manger a été très dure à lire et contradictoire avec ce qui était annoncé au départ. C'est ce qui a été rédhibitoire pour beaucoup de mes camarades de LC et je comprend, mais j'ai bien fait de continuer ma lecture parce qu'il y a tellement d'idées intéressantes pour notre avenir.
Les réflexions sur la famille m'ont particulièrement intriguée et questionnée. Je crois que c'est ce qui m'a réellement plu. Surtout à travers le personnage de Gob qui remet le système en question. Elle a pourtant été un personnage très agaçant au début.
Le principe de revenu universel pour toute personne avec responsabilité de participer aux tâches quotidiennes, repas, cultures du jardin, ménages... Pouvoir changer de travail selon notre évolution, de ville selon notre envie, sans qu'on ne nous en veuille, c'est excellent. La bienveillance des communautés, la vie collective tout en acceptant l'individu, un rêve !
La déclaration d'Antonia n'est pas parfaite mais laisse à envisager un futur où l'humain s'est recentré sur l'essentiel, tout en n'oubliant pas de minimiser son empreinte sur le monde dans lequel il ne fait que passer.
Je sais que certain.e.s ont vu cette histoire comme une succession d'interdits mais je fais partie de cell.eux qui pense qu'imposer des règles de vie surtout en collectif, n'est pas une mauvaise chose. D'ailleurs la fin en explique très bien les choix.
Petit bémol pour les nombreuses coquilles qui gâchent un peu la lecture. Une relecture pour une future réimpression serait la bienvenue surtout que ce texte mérite plus d'attention.
