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Critique de chrysalde
Retrouver Anna-Nina, Valentine, Eric, Gustave ... c'était a priori une chouette façon de terminer les vacances. Synchronicité de ma lecture avec la rentrée scolaire puisque Anna-Nina va enfin rentrer à l'école et être scolarisée.
Mais depuis ma première lecture d'Agnès Ledig en 2014-2015, d'autres livres ont coulé sous les ponts, les lectures feel good sont devenues les ventes massives des supermarchés, la trame narrative est récurrente, et je suis probablement devenue beaucoup plus critique vis à vis de cette littérature.
Bref, cet opus m'a largement énervé. Tout est tellement cliché que cela en devenait prévisible et exaspérant.
Sans compter cette Valentine qui subitement se transforme en volcan éperdu d'amour et d'envie de sexe. Faut il croire qu'entre les parutions de 2014 et les plus récentes sont passés par là les multiples nuances de Grey et que l'autrice s'est dit qu'insérer quelques pages torrides ne pourrait que plaire à la ménagère de moins de 50 ans (dont je ne fais plus partie) ... Bref, j'ai trouvé Valentine stupide de ne pas arriver à maîtriser son corps et ses pulsions de sexe, j'ai trouvé Gaël le brave prof nounours stéréotypé puissance maximale: le gros gentil qui se fait larguer ... et tout est dans le style. Je ne suis pas vraiment déçue, juste étonnée de ne pas avoir perçu tout ça lors de mes lectures précédentes.
Ceci signera ma dernière lecture de cette autrice et autres consoeurs Lugand, Valogne, Da Costa ...
Mais depuis ma première lecture d'Agnès Ledig en 2014-2015, d'autres livres ont coulé sous les ponts, les lectures feel good sont devenues les ventes massives des supermarchés, la trame narrative est récurrente, et je suis probablement devenue beaucoup plus critique vis à vis de cette littérature.
Bref, cet opus m'a largement énervé. Tout est tellement cliché que cela en devenait prévisible et exaspérant.
Sans compter cette Valentine qui subitement se transforme en volcan éperdu d'amour et d'envie de sexe. Faut il croire qu'entre les parutions de 2014 et les plus récentes sont passés par là les multiples nuances de Grey et que l'autrice s'est dit qu'insérer quelques pages torrides ne pourrait que plaire à la ménagère de moins de 50 ans (dont je ne fais plus partie) ... Bref, j'ai trouvé Valentine stupide de ne pas arriver à maîtriser son corps et ses pulsions de sexe, j'ai trouvé Gaël le brave prof nounours stéréotypé puissance maximale: le gros gentil qui se fait larguer ... et tout est dans le style. Je ne suis pas vraiment déçue, juste étonnée de ne pas avoir perçu tout ça lors de mes lectures précédentes.
Ceci signera ma dernière lecture de cette autrice et autres consoeurs Lugand, Valogne, Da Costa ...
