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Critique de Miralb
Roman récupéré dans un hôtel à l'étranger.
Mais que ce livre est bête !
S'il m'est arrivé deux ou trois fois de sourire (sur 476 pages), "l'humour" de l'auteur m'a consterné.
Trop de "trop" :
Trop caricatural
Trop de situations ridicules qui sonnent faux (le comble : la scène de récupération des arriérés de pension alimentaire chez un ex, j'avais honte pour l'auteur)
Trop de discours et de réparties artificiels et ampoulés
Trop de philosophie de comptoir
Et la fin... L'apothéose dans la niaiserie.
Tout à fait dans la lignée de ces livres de "développement personnel" qui alignent les clichés et les facilités, ou comment enfoncer les portes ouvertes et qui virent à l'arnaque du siècle.
Feel good ? Merci, j'ai donné.
Je sais, je n'ai pas de coeur...
Mais que ce livre est bête !
S'il m'est arrivé deux ou trois fois de sourire (sur 476 pages), "l'humour" de l'auteur m'a consterné.
Trop de "trop" :
Trop caricatural
Trop de situations ridicules qui sonnent faux (le comble : la scène de récupération des arriérés de pension alimentaire chez un ex, j'avais honte pour l'auteur)
Trop de discours et de réparties artificiels et ampoulés
Trop de philosophie de comptoir
Et la fin... L'apothéose dans la niaiserie.
Tout à fait dans la lignée de ces livres de "développement personnel" qui alignent les clichés et les facilités, ou comment enfoncer les portes ouvertes et qui virent à l'arnaque du siècle.
Feel good ? Merci, j'ai donné.
Je sais, je n'ai pas de coeur...
