Macao et Cosmage vivaient un « éternel printemps » sur une île fantastique, entourés d'animaux, de fleurs merveilleuses et de fruits savoureux, dans l'insouciance de l'état de nature rousseauiste, jusqu'à l'arrivée de « la bienheureuse Civilisation ». Colons, savants, soldats, fonctionnaires, industriels, touristes leur apportent
Le Progrès, promesse du Bonheur. Autant que le sens de ce développement, le propos interroge la nécessité du travail. « Vous vivez à l'époque des grandes inventions ; l'activité humaine, sous toutes ses formes, est sans limites ! le bonheur est dans le travail ! » explique le jeune gouverneur « actif et énergique ». « Je n'entends rien à votre travail », lui répond Macao, « Je suis trop vieux pour apprendre. »
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