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Critique de clauclau28
Un homme est découvert entre la vie et la mort dans les monts des Abruzzes dans l'antre d'une sorcière. Il est emmené dans un monastère où il se remet petit à petit. Il peint une vierge sans modèle d'une façon éblouissante et magnifique. C'est un géni. Les moines croient reconnaitre qu'il s'agirait un moine de l'Athos en Grèce, mais l'homme a perdu la mémoire. Adriano Toscani est sollicité pour retrouver l'identité et les origines de l'homme. Les moines retrouvent Fra Anselmo mort en ayant bu la potion destinée à l'homme revenu à lui. Toscani a retrouvé l'identité de l'étranger : il s'agirait de frère Ioannis du monastère Simmons Petra. C'est un peintre d'icônes. le moine lui chante une comptine qui lui rend la mémoire L'étranger raconte sa vie.Il s'appelle Giovanni Tratore. Il y a douze ans il a rencontré Eléna...
Le graphisme est joli, tout en nuances comme des aquarelles, ce que j'ai recherché jusqu'à présent. Sombre ou clair, suivant ce que Griffo a voulu représenter, le plus souvent suivant l'endroit lumineux ou non ou suivant l'heure de jour ou de nuit. L'histoire, mêlant aventures et ésotérisme, rêve et réalité, passé et présent est pleine d'inventivité et nous fait voyager en Italie et en Grèce.
Le graphisme est joli, tout en nuances comme des aquarelles, ce que j'ai recherché jusqu'à présent. Sombre ou clair, suivant ce que Griffo a voulu représenter, le plus souvent suivant l'endroit lumineux ou non ou suivant l'heure de jour ou de nuit. L'histoire, mêlant aventures et ésotérisme, rêve et réalité, passé et présent est pleine d'inventivité et nous fait voyager en Italie et en Grèce.
