Autant j'ai adoré les romans de Lenoir ( l'Oracle della Luna,
la promesse de l'ange...), autant j'ai trouvé
Nina assez léger et somme toute téléphoné. Certes il y a de belles pages assez poétiques, mais on tombe parfois dans la mièvrerie un peu lassante et que de nostalgique... ce plaisir d'être malheureux. le narrateur qui n'en finit pas de regretter une lettre que sa correspondante aurait ignoré...oulala, que tout cela est compliqué... j'ai eu des difficultés à comprendre le personnage. Je reste donc sur ma faim et j'ai trouvé ce livre très en dessous du niveau de Lenoir. Il n'est pas épais et se lit en définitive assez vite.
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