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Critique de kaerlyon
Après avoir lu "le cosmos et le lotus" de Trinh Xuen Thuan ou l'auteur explique la vision de son métier et la création de l'univers via sa connaissance du bouddhisme, j'ai eu envie de comprendre son cheminement philosophique. Sur quoi mon choix devait-il se porter ? Pour comprendre les bases, il me fallait quelque chose de basique, un livre de vulgarisation mais expliquant assez la philosophie pour pouvoir la mettre en parallèle avec la théorie de Trinh Xuen Thuan. J'ai fini par opter par un "que sais-je" édition Puf. Mon choix allait-il satisfaire mes attentes ?
Eh bien non ! Bien sûr, je ne peux reprocher à l'auteur de ne pas avoir répondu à mes questions, compte tenu quelles étaient vagues, même pour moi. Toutefois, mon principal reproche est que le titre n'aurait pas du être "le bouddhisme" mais plutôt "Bouddha". Après un historique sur la diffusion du bouddhisme en occident, suivi de sa naissance en Inde, le pays de l'Hindouisme et des castes, nous assistons à la vie du "Bouddha", de sa naissance à sa mort en passant par "l'éveil". Somme toute, la philosophie y a peu sa place. Juste aperçue et déjà, ce moment fugace est remplacé par le chapitre suivant. C'est l'homme qui est en première place et non sa doctrine. Il en va de même pour l'après. L'évolution du bouddhisme après la mort de Siddhârta n'est là aussi, traitée qu'au point de vu historique avec le développement des différents courants et la diffusion du bouddhisme à travers l'Asie.
En conclusion, il est certes expliqué que le bouddhisme est une démarche personnelle qui requière de la rigueur et de la persévérance. le cheminement de l'éveil est une voie difficile mais qui s'assimile à toutes les recherches personnelles. A la fin de cet ouvrage, beaucoup de mes questions sont restées sans réponses. Je ne dis pas que cet ouvrage a été une lecture inutile, bien au contraire. Il a été enrichissant de connaître le processus de création d'une religion à partir d'un homme et surtout que cette foi se répande même après la disparition de son investigateur. Mais ma question principale, à savoir pourquoi le bouddhisme est plus à même que, par exemple le christianisme, d'expliquer les mécanismes de la cosmologie, est restée sans réponse…..
Eh bien non ! Bien sûr, je ne peux reprocher à l'auteur de ne pas avoir répondu à mes questions, compte tenu quelles étaient vagues, même pour moi. Toutefois, mon principal reproche est que le titre n'aurait pas du être "le bouddhisme" mais plutôt "Bouddha". Après un historique sur la diffusion du bouddhisme en occident, suivi de sa naissance en Inde, le pays de l'Hindouisme et des castes, nous assistons à la vie du "Bouddha", de sa naissance à sa mort en passant par "l'éveil". Somme toute, la philosophie y a peu sa place. Juste aperçue et déjà, ce moment fugace est remplacé par le chapitre suivant. C'est l'homme qui est en première place et non sa doctrine. Il en va de même pour l'après. L'évolution du bouddhisme après la mort de Siddhârta n'est là aussi, traitée qu'au point de vu historique avec le développement des différents courants et la diffusion du bouddhisme à travers l'Asie.
En conclusion, il est certes expliqué que le bouddhisme est une démarche personnelle qui requière de la rigueur et de la persévérance. le cheminement de l'éveil est une voie difficile mais qui s'assimile à toutes les recherches personnelles. A la fin de cet ouvrage, beaucoup de mes questions sont restées sans réponses. Je ne dis pas que cet ouvrage a été une lecture inutile, bien au contraire. Il a été enrichissant de connaître le processus de création d'une religion à partir d'un homme et surtout que cette foi se répande même après la disparition de son investigateur. Mais ma question principale, à savoir pourquoi le bouddhisme est plus à même que, par exemple le christianisme, d'expliquer les mécanismes de la cosmologie, est restée sans réponse…..
