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Critique de milamirage
Un petit bonhomme, tout petit petit, nous raconte son doudou, le plus grand et le plus gros doudou du monde. Il nous parle des liens qui les unissent et de leur quotidien : les câlins, les jeux, l'hygiène, les repas et le dodo...
Mon avis : A la librairie où je choisissais mes livres pour le secteur jeunesse de la médiathèque, je ne pouvais pas ne pas remarquer cet album cartonné, pour une simple et bonne raison, c'est qu'il est très grand. Imaginez un peu, trente quatre sur vingt six centimètres n'est déjà pas un format très répandu, mais dans le rayon petite enfance, je n'avais jamais vu ça. Malgré tout, j'aurais pu passer à côté, sans m'y attarder. Cela aurait été compter sans le coup de coeur que j'ai ressenti pour l'illustration de couverture : une espèce de gros monstre sympathique portant dans ses bras un tout petit bonhomme au bonnet rouge, style lutin, et le regardant malicieusement et affectueusement. Alors j'ai ouvert, j'ai lu et j'ai adoré ce texte plein d'amour et d'humour. J'ai fondu littéralement face aux illustrations qui tiennent la promesse faite sur la couverture : ce doudou surdimensionné et ce tout petit bambin sont si expressifs dans la joie de vivre et l'espièglerie que je sais d'ors et déjà qu'ils vont séduire mes tout petits mais aussi les plus grands et leurs parents. A découvrir, vraiment, pour la tendresse et les sourires qu'ils éveillent en nous.
Nota Bene : L'illustratrice n'était pas encore reconnue sur Babelio, aujourd'hui c'est chose faite et je pense que les addicts aux albums jeunesse vont la revoir souvent...
Public : à partir de deux ans mais sans aucune autre limite d'âge.
Si vous voulez vous rendre sur le site de l'illustratrice, Selma Mandine, vous pouvez suivre cette adresse (pour ma part, je viens de le faire et j'en ai encore plein les yeux...)
http://www.petiteselma.free.fr/
Mon avis : A la librairie où je choisissais mes livres pour le secteur jeunesse de la médiathèque, je ne pouvais pas ne pas remarquer cet album cartonné, pour une simple et bonne raison, c'est qu'il est très grand. Imaginez un peu, trente quatre sur vingt six centimètres n'est déjà pas un format très répandu, mais dans le rayon petite enfance, je n'avais jamais vu ça. Malgré tout, j'aurais pu passer à côté, sans m'y attarder. Cela aurait été compter sans le coup de coeur que j'ai ressenti pour l'illustration de couverture : une espèce de gros monstre sympathique portant dans ses bras un tout petit bonhomme au bonnet rouge, style lutin, et le regardant malicieusement et affectueusement. Alors j'ai ouvert, j'ai lu et j'ai adoré ce texte plein d'amour et d'humour. J'ai fondu littéralement face aux illustrations qui tiennent la promesse faite sur la couverture : ce doudou surdimensionné et ce tout petit bambin sont si expressifs dans la joie de vivre et l'espièglerie que je sais d'ors et déjà qu'ils vont séduire mes tout petits mais aussi les plus grands et leurs parents. A découvrir, vraiment, pour la tendresse et les sourires qu'ils éveillent en nous.
Nota Bene : L'illustratrice n'était pas encore reconnue sur Babelio, aujourd'hui c'est chose faite et je pense que les addicts aux albums jeunesse vont la revoir souvent...
Public : à partir de deux ans mais sans aucune autre limite d'âge.
Si vous voulez vous rendre sur le site de l'illustratrice, Selma Mandine, vous pouvez suivre cette adresse (pour ma part, je viens de le faire et j'en ai encore plein les yeux...)
http://www.petiteselma.free.fr/
