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Critique de Tostaky0
Le 8 juillet dernier, j'ai rencontré un extraterrestre.
Lors d'un déjeuner entre auteurs et lecteurs, au cours des rencontres des polars du chat du Creusot , le hasard m'a placé à coté de Fabrice Liégeois, jeune auteur autoédité, venu présenté son Aby.
Quelle rencontre !
Pendant près d'une heure, Fabrice m' a parlé de son travail d'écriture, de ses attentes, de ses interrogations, de ses doutes et de ses motivations. Aby, cette dernière version en tout cas, a mis 27 mois avant de lui donner satisfaction et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il attend beaucoup du retour de ses lecteurs.
Il en parle bien de son livre Monsieur Liégeois, mais tout en gardant l'entier mystère sur son contenu.
Tout juste lâche-t-il que son personnage, Aby donc, raconte son histoire. 73 ans de sa vie. de sa Louisiane natale à ce quartier de Harlem aujourd'hui. Rien de plus. On ne sait même pas à qui elle s'adresse. C'est à chacun, et ça aussi l'auteur me l'a fait comprendre, de se faire son opinion.
Je n'en dirai pas beaucoup plus, comme à mon habitude, je n'aime pas dévoiler le contenu de mes lectures pour laisser au futur lecteur le plaisir de l'entière découverte. J'ajouterai simplement cette phrase qui figure en 4ème de couverture, « Pour public averti seulement ».
Aby et son Pah, Fabrice, m'ont cloué à mon fauteuil tout au long de ces 580 pages. Envouté, moi, l'humble lecteur. Happé par la bête, victime consentante dès les premières pages, pris au piège d'un récit sanglant. de génération en génération, malheur à celui qui se trouve sur le chemin de Marinèt Bwa Chech…. J'ai survécu, enfin, je l'espère.
Deux petits conseils, révisez votre créole et surtout, SURTOUT, même si on vous invite à la cave… N'Y DESCENDEZ JAMAIS….
Lors d'un déjeuner entre auteurs et lecteurs, au cours des rencontres des polars du chat du Creusot , le hasard m'a placé à coté de Fabrice Liégeois, jeune auteur autoédité, venu présenté son Aby.
Quelle rencontre !
Pendant près d'une heure, Fabrice m' a parlé de son travail d'écriture, de ses attentes, de ses interrogations, de ses doutes et de ses motivations. Aby, cette dernière version en tout cas, a mis 27 mois avant de lui donner satisfaction et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il attend beaucoup du retour de ses lecteurs.
Il en parle bien de son livre Monsieur Liégeois, mais tout en gardant l'entier mystère sur son contenu.
Tout juste lâche-t-il que son personnage, Aby donc, raconte son histoire. 73 ans de sa vie. de sa Louisiane natale à ce quartier de Harlem aujourd'hui. Rien de plus. On ne sait même pas à qui elle s'adresse. C'est à chacun, et ça aussi l'auteur me l'a fait comprendre, de se faire son opinion.
Je n'en dirai pas beaucoup plus, comme à mon habitude, je n'aime pas dévoiler le contenu de mes lectures pour laisser au futur lecteur le plaisir de l'entière découverte. J'ajouterai simplement cette phrase qui figure en 4ème de couverture, « Pour public averti seulement ».
Aby et son Pah, Fabrice, m'ont cloué à mon fauteuil tout au long de ces 580 pages. Envouté, moi, l'humble lecteur. Happé par la bête, victime consentante dès les premières pages, pris au piège d'un récit sanglant. de génération en génération, malheur à celui qui se trouve sur le chemin de Marinèt Bwa Chech…. J'ai survécu, enfin, je l'espère.
Deux petits conseils, révisez votre créole et surtout, SURTOUT, même si on vous invite à la cave… N'Y DESCENDEZ JAMAIS….
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