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Critique de BazaR
J'ai acheté ce magazine suite à l'écoute de la chronique de Muriel Gilbert « Un bonbon sur la langue » sur RTL. Bon, je ne suis pas un furieux de la précision grammaticale (vous n'avez qu'à me lire pour vous en rendre compte) mais j'ai trouvé l'idée de lire ces « curiosités » intéressante.
Bon, ce billet est surtout une excuse pour vous diriger vers les quelques citations que j'ai mises en ligne, et qui vous donnent une idée du contenu. le magazine montre aussi à quel point la langue française – et probablement toutes les langues – est quelque chose de vivant, qui change et évolue constamment, moins à cause d'une bande d'érudits qui imposent des diktats que par l'usage. Elle communique avec d'autres langues, entrainant des emprunts et aussi des réactions protectionnistes. J'ai par exemple appris que des anglicismes qui agressent les yeux de certains ont eux-mêmes pour ancêtre des mots que l'Angleterre a emprunté à la France. Il n'y a pas que les avions qui survolent la Manche, on dirait.
J'ai bien aimé aussi le chapitre sur les spécificités régionales. Je me suis amusé à vérifier avec mon amie belge si elle employait effectivement tel ou tel mot. Quant à moi je me suis aperçu que je n'utilisais jamais certaines expressions provençales ou occitanes, alors que j'en aurait ajouté d'autres.
Bref des moments agréables et instructifs, une ou deux pages avant de sortir prendre les transports en commun. Et une référence à garder sous le coude.
Bon, ce billet est surtout une excuse pour vous diriger vers les quelques citations que j'ai mises en ligne, et qui vous donnent une idée du contenu. le magazine montre aussi à quel point la langue française – et probablement toutes les langues – est quelque chose de vivant, qui change et évolue constamment, moins à cause d'une bande d'érudits qui imposent des diktats que par l'usage. Elle communique avec d'autres langues, entrainant des emprunts et aussi des réactions protectionnistes. J'ai par exemple appris que des anglicismes qui agressent les yeux de certains ont eux-mêmes pour ancêtre des mots que l'Angleterre a emprunté à la France. Il n'y a pas que les avions qui survolent la Manche, on dirait.
J'ai bien aimé aussi le chapitre sur les spécificités régionales. Je me suis amusé à vérifier avec mon amie belge si elle employait effectivement tel ou tel mot. Quant à moi je me suis aperçu que je n'utilisais jamais certaines expressions provençales ou occitanes, alors que j'en aurait ajouté d'autres.
Bref des moments agréables et instructifs, une ou deux pages avant de sortir prendre les transports en commun. Et une référence à garder sous le coude.
