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Critique de Yata
Synopsis :
A la suite d'un drame familial, Bryan, accompagné de Suzy, sa femme, part à la découverte de Munoz, petit village de Bretagne dont sa famille est originaire.
En explorant les ruines d'un vieux château - malgré les recommandations des villageois - le couple réveille une entité maléfique qui sèmera bientôt le chaos sur le village.
Confrontés à des évènements surnaturels, Bryan et Suzy seront contraints d'abandonner leurs certitudes de citadins, et forcés d'admettre que les croyances des culs-terreux du village sont plus que de simples superstitions...
Critique :
Le Souffle des Ténèbres est une histoire classique de malédiction, qui nous dévoile progressivement tous ses secrets. Elle se démarque cependant par l'utilisation du folklore breton (propice aux récits de malédiction) et l'absence d'intervention divine. Il ne s'agit pas ici de l'éternelle lutte du bien contre le mal : ces deux notions coexistent et sont interdépendantes. C'est ce qu'illustre selon moi la dernière phrase de ce roman : "Du chagrin peut jaillir l'espoir et des ténèbres peut naître la lumière."
Ce roman est un savant mélange de faits historiques (voyez à ce titre l'histoire de Gilles de Rais) et de folklore, agrémenté d'une dose d'imagination morbide, qui donne un certain réalisme au récit.
A découvrir sans hésitation.
A la suite d'un drame familial, Bryan, accompagné de Suzy, sa femme, part à la découverte de Munoz, petit village de Bretagne dont sa famille est originaire.
En explorant les ruines d'un vieux château - malgré les recommandations des villageois - le couple réveille une entité maléfique qui sèmera bientôt le chaos sur le village.
Confrontés à des évènements surnaturels, Bryan et Suzy seront contraints d'abandonner leurs certitudes de citadins, et forcés d'admettre que les croyances des culs-terreux du village sont plus que de simples superstitions...
Critique :
Le Souffle des Ténèbres est une histoire classique de malédiction, qui nous dévoile progressivement tous ses secrets. Elle se démarque cependant par l'utilisation du folklore breton (propice aux récits de malédiction) et l'absence d'intervention divine. Il ne s'agit pas ici de l'éternelle lutte du bien contre le mal : ces deux notions coexistent et sont interdépendantes. C'est ce qu'illustre selon moi la dernière phrase de ce roman : "Du chagrin peut jaillir l'espoir et des ténèbres peut naître la lumière."
Ce roman est un savant mélange de faits historiques (voyez à ce titre l'histoire de Gilles de Rais) et de folklore, agrémenté d'une dose d'imagination morbide, qui donne un certain réalisme au récit.
A découvrir sans hésitation.
