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Critique de majero


Savoureux et doré comme de la pâte d'abricot, cette amitié entre mauvais garçons, Hugo-Bohem (le chroniqueur), Freddy le Rital (chef de bande), Alex la Fouine et Oscar le Chinois dans les banlieues et les terrains vagues autour de Providence et même si la drogue, l'alcool, la moto, les bastons entre motards-clubs, les mauvais coups, la fuite toujours plus loin devant la poursuite des flics c'est pas la vraie vie, ça sent foutrement le vécu.

C'est dingue comme ces gens là peuvent goûter la vie, chaque moment comme un cadeau, s'enthousiasmer, s'émerveiller de petits riens et moi je m'émerveillais des mots choisis par Loevenbruck, ces bouts de phrases qui me faisaient marrer et danser mon âme et promis juré, quand je partirai sur mon île déserte, c'est ces mots là que j'emènerai.
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