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Critique de oran
Dans l'avant-propos de Pierre-Yves Ruff et Marie-France David de Palacio cet ouvrage est présenté comme un roman à thèse, illustrant la destinée tragique du héros Loïs Majourès sur fonds de IIIème République.
Dans la déclinaison de la vie de Majourès, on retrouve des descriptions naturalistes à la Zola, la critique du monde social, celui des journalistes, le cynisme du pouvoir politique, l'arrivisme des nouveaux riches, la morgue des royalistes, l'idéal, l'utopie criante de certains à vouloir améliorer l'univers ouvrier. La création d'un phalanstère devrait aider en cela.
Le style est particulièrement ampoulé, les néologismes nombreux, des archaïsmes à profusion, j'ai eu du mal au début, mais peu à peu, je me suis laissée bercer par la grâce du vocabulaire, il est vrai très emphatique mais aussi poétique.
Dans la déclinaison de la vie de Majourès, on retrouve des descriptions naturalistes à la Zola, la critique du monde social, celui des journalistes, le cynisme du pouvoir politique, l'arrivisme des nouveaux riches, la morgue des royalistes, l'idéal, l'utopie criante de certains à vouloir améliorer l'univers ouvrier. La création d'un phalanstère devrait aider en cela.
Le style est particulièrement ampoulé, les néologismes nombreux, des archaïsmes à profusion, j'ai eu du mal au début, mais peu à peu, je me suis laissée bercer par la grâce du vocabulaire, il est vrai très emphatique mais aussi poétique.
