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Critique de jovidalens


Le gris règne, si pauvrement éclairé de rouge...
Les "Barricades", mot magique qui m'évoquait Hugo et son Gavroche...mais je ne savais pas que Barcelone, aussi...

Ermo a trouvé sa place dans sa famille d'adoption, mais le chapiteau est brûlé, et la roulotte devient camion. Et le camion aide à l'insurrection.
Les artistes s'engagent , non sur des contrats de spectacle, mais plutôt, prennent position, au sens miltaire du terme !

Et même si à la fin de la BD une petite victoire républicaine est fêtée, à la dernière page, les enfants, sur un quai du port et sous un réverbère échangent quelques mots, sans espoir : "Tu sais Ana, la guerre, c'est pas un jeu !"

Le gris a tout envahit, même le blanc est obscur et encore, au loin, une touche de rouge !
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