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Critique de Gudulle
On retrouve nos 3 papis rock n'roll dans ce 2eme opus.
Cette fois ci, Antoine va à Paris retrouver Pierrot pour une manif des Ni yeux ni maître, collectif de vieux débris, aveugles, habitués aux attentats gériatriques. Sauf que Pierrot reçoit un colis rempli de 200 000 € en billets de la part de Anita, alias Ann Bonny. C'était en 1963, c'était une jeune activiste qu'il a passionnément aimé. Il la croyait morte. Il va partir à sa recherche. Sauf que cet envoi mystère, c'est Sophie, la petite fille d'Antoine qui l'a fait avec l'argent que lui a légué l'ancien patron de Garan-Servier (tome 1). Un véritable imbroglio qui va mener notre petit trio dans une succession de situations décapantes, avec pour fil conducteur une histoire de baguette à la boulangerie.
C'est drôle, irrévérencieux mais incroyablement bien mené.
J'ai préféré ce numéro au premier.
Cette fois ci, Antoine va à Paris retrouver Pierrot pour une manif des Ni yeux ni maître, collectif de vieux débris, aveugles, habitués aux attentats gériatriques. Sauf que Pierrot reçoit un colis rempli de 200 000 € en billets de la part de Anita, alias Ann Bonny. C'était en 1963, c'était une jeune activiste qu'il a passionnément aimé. Il la croyait morte. Il va partir à sa recherche. Sauf que cet envoi mystère, c'est Sophie, la petite fille d'Antoine qui l'a fait avec l'argent que lui a légué l'ancien patron de Garan-Servier (tome 1). Un véritable imbroglio qui va mener notre petit trio dans une succession de situations décapantes, avec pour fil conducteur une histoire de baguette à la boulangerie.
C'est drôle, irrévérencieux mais incroyablement bien mené.
J'ai préféré ce numéro au premier.
