J'ai moins aimé ce deuxième tome de la série, peut-etre parce que l'effet de surprise était passé.
Il m'a fallu un certain temps pour entrer dans l'histoire, et j'ai du relire le début plusieurs fois à quelques semaines d'intervalle.
Et hier, brusquement, j'ai passé le cap de ces premières pages où je n'accrochais pas, et j'ai finalement été touchée par Pierrot et son amour toujours vivant pour cette espagnole disparue des décennies plus tôt. J'ai aimé passer un peu plus de temps avec Sophie. responsable malgré elle d'une réapparition malvenue.
J'ai adoré les passages en boulangerie, très représentatifs de la mode actuelle, où on ne peut plus appeler un chat un chat. Je n'en dis pas plus au cas improbable où certains ne l'auraient pas encore lu.
Ils sont bien représentatifs de l'humour qui reste le point fort de ce tome.
Je lirai sans doute au moins le troisième. Vive la médiathèque.
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