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Critique de Yi
Une premier de couverture charmeuse, une histoire zarbi (bizarre), il n'en fallait pas plus pour me pousser à m'emparer de ce livre.
On a comparé ce livre au parfum de Patrick Suskind. Désolée mais pour moi on en est loin.
L'HISTOIRE
Marino a été découvert abandonné alors qu'il n'est qu'un bébé. Mais de suite son visage, sa personne fascine. En grandissant il comprend qu'il a le don de prendre l'apparence d'un être aimé, d'un disparu...
Il va passer de main en main et nous faire découvrir la Venise du 16eme siècle.
Fanatisme et décadence, le tout mêlé au Mal et à l'amour glauque.
L'idée de départ m'a plu et m'a fait penser indirectement au parfum de Patrick Suskind. Mais ca s'arrête la.
Certes les divers personnages rencontrés on tous une histoire qui s'entremêlent et leur personnalité affleure.
Carla la fille mère devenu nonne, Agostino castrat humilié, Alvise noble fat courant après lui même, la comtessa pleurant sur un amour passé...
Ils se croisent dans une Venise très bien décrite.
Mais la ou ca se gate c'est dans le scénario. Il devient peu à peu fouillis. Brouillon.
Quid de l'envoyé du pape ? Agostino est il l'ami ou l'ennemi de Marino ?
Constanza une jeune fille pure ou une idiote ?
Lelio envoyé de la mort qui finit par trouver Marino mais pour faire quoi ?
Les questions que posent ce roman sombre sont fascinantes alors pourquoi ne pas y répondre ?
3 étoiles car l'idée et la narration sont plaisantes sans oublier l'idée de départ. Mais seulement trois, car la frustration d'un roman mal conclu persiste.
On a comparé ce livre au parfum de Patrick Suskind. Désolée mais pour moi on en est loin.
L'HISTOIRE
Marino a été découvert abandonné alors qu'il n'est qu'un bébé. Mais de suite son visage, sa personne fascine. En grandissant il comprend qu'il a le don de prendre l'apparence d'un être aimé, d'un disparu...
Il va passer de main en main et nous faire découvrir la Venise du 16eme siècle.
Fanatisme et décadence, le tout mêlé au Mal et à l'amour glauque.
L'idée de départ m'a plu et m'a fait penser indirectement au parfum de Patrick Suskind. Mais ca s'arrête la.
Certes les divers personnages rencontrés on tous une histoire qui s'entremêlent et leur personnalité affleure.
Carla la fille mère devenu nonne, Agostino castrat humilié, Alvise noble fat courant après lui même, la comtessa pleurant sur un amour passé...
Ils se croisent dans une Venise très bien décrite.
Mais la ou ca se gate c'est dans le scénario. Il devient peu à peu fouillis. Brouillon.
Quid de l'envoyé du pape ? Agostino est il l'ami ou l'ennemi de Marino ?
Constanza une jeune fille pure ou une idiote ?
Lelio envoyé de la mort qui finit par trouver Marino mais pour faire quoi ?
Les questions que posent ce roman sombre sont fascinantes alors pourquoi ne pas y répondre ?
3 étoiles car l'idée et la narration sont plaisantes sans oublier l'idée de départ. Mais seulement trois, car la frustration d'un roman mal conclu persiste.
