Salut les Babelionautes
Ce space opéra avait tout pour me plaire mais il lui manque je ne sais quoi pour en faire un bon roman.
L'omniprésence de la nanotechnologie et le fait que la mort n'est plus systématiquement définitive m'avait emmené a penser que j'allais découvrir un nouveau
David Weber avec son Héroine "Lucinda Carlyle".
Mais le soufflet est retombée et comme fnitter je me suis ennuyé a lire des paragraphes entier sans pratiquement aucun lien avec le récit.
Merci quand même a
Olivier Debernard qui a eu le douloureux privilège de traduire ce roman.
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