Darby Quinn, trente ans, a décidé de ne plus croire à l'amour. Non, le prince charmant n'existe pas ! Pourtant, elle est très attirée par son nouveau voisin, Jake.
Les contes de fées, c'est la référence affichée dès les premières lignes et qui hante les pages de
Cendrillon me perdra, qui s'affiche comme une réécriture moderne de ces histoires. Une réécriture par son intrigue, une romance assez classique, mais agrémentée en plus de pastiches au fil du roman : les versions d'Aladdin, de la Petite Sirène, Blanche-Neige… et Cendrillon bien sûr, revues et corrigées par l'héroïne avec un humour très acide.
C'est ce parti pris de dérision et ce style plein d'ironie qui font tout l'intérêt et l'originalité de
Cendrillon me perdra. Et c'est ce qui fait que l'on parvient à passer outre les longueurs de l'histoire et le manque de charisme des deux héros (qui sont quand même très passifs) et à passer un bon moment en lisant ce livre.
Une comédie romantique sympathique.
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