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Critique de Poison_Pourpre
Je vous fais un petit retour sur ma dernière lecture [Février: My funny Valentine] de Meg Maine en auto-édition. C'est la 8 ème nouvelle de son anthologie [What an horrorfull year] qui sera dans le deuxième volume. Merci à toi de m'avoir permise de la découvrir.
Un prologue qui nous plonge tout de suite dans l'ambiance. Toujours ce même style que j'aime tant qui nous emmène loin dans l'horreur.
J'étais dans la tête d'un psychopathe (j'entendais même sa voix dans ma tête) et j'avoue que c'était pas pour me déplaire. Une Saint-valentin sanglante, frissonnante et inattendue. J'ai adoré cette petite histoire d'une vingtaine de pages, courte mais qui fait le job. J'avoue que j'avais deviné la fin mais que j'étais curieuse de voir comment l'autrice allait mettre ça en place, eh bien je ne suis pas déçue haha.
Extrait :
"Ta peau est douce, si douce.
Tes joues à la texture de pêche réclament sans cesse mes caresses. Tes yeux bleus délavés aux pupilles délicatement dilatées appellent les miens. Tes cheveux blonds soyeux retombent sur ton front humide, m'obligeant à les écarter avec douceur si je veux contempler ta beauté dans son ensemble.
[...]
Ta peau est douce, si douce.
Ton sang est chaud, si chaud."
Un prologue qui nous plonge tout de suite dans l'ambiance. Toujours ce même style que j'aime tant qui nous emmène loin dans l'horreur.
J'étais dans la tête d'un psychopathe (j'entendais même sa voix dans ma tête) et j'avoue que c'était pas pour me déplaire. Une Saint-valentin sanglante, frissonnante et inattendue. J'ai adoré cette petite histoire d'une vingtaine de pages, courte mais qui fait le job. J'avoue que j'avais deviné la fin mais que j'étais curieuse de voir comment l'autrice allait mettre ça en place, eh bien je ne suis pas déçue haha.
Extrait :
"Ta peau est douce, si douce.
Tes joues à la texture de pêche réclament sans cesse mes caresses. Tes yeux bleus délavés aux pupilles délicatement dilatées appellent les miens. Tes cheveux blonds soyeux retombent sur ton front humide, m'obligeant à les écarter avec douceur si je veux contempler ta beauté dans son ensemble.
[...]
Ta peau est douce, si douce.
Ton sang est chaud, si chaud."
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