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Critique de Little_stranger
Tanger, la blanche ... Tangerine, une variété de mandarine, Tangerine, un couleur en anglais orange et dans ce roman, le surnom des habitants de Tanger.
Alice Shipley est à Tanger. Elle ne va pas très bien. Ses 2 parents sont décédés dans un accident de voiture lorsqu'elle était enfant. Elle est depuis comme sur une corde raide : délicate et peu sûre d'elle. Comme l'héroïne de Lewis Caroll, Alice va tomber dans le terrier du lapin et aller de surprises pas terribles en surprises terrifiantes, le tout sans pouvoir rien faire. Nous sommes dans les années 50 : bien que ses parents étaient fortunés, Alice est sous la tutelle de sa tante et ne percevra son capital qu'à ses 21 ans. Elle a épousé John Mac Allister, aux activités peu claires, mais dont le capital financier a fondu comme neige au soleil et qui vit donc aux crochets d'Alice. le couple ne fonctionne pas : John est absorbé par la ville interlope et Alice se sent étrangère : blonde aux yeux bleus et délicate créature.L'absence d'enfant dans le couple n'arrange rien. Alice se sent responsable. John va trouver ailleurs des amours plus exotiques et vibrantes.
L'arrivée à sa porte d'une ancienne camarade d'université, Lucy Mason, très femme fatale, va totalement bouleverser l'univers fragile d'Alice. Car Lucy est une prédatrice, une prédatrice extrêmement efficace, qui n'a rien à perdre et tout à gagner. Les jalons qu'elle avait posé à l'université, alors qu'elle était boursière, vont lui permettre d'arriver à ses fins et Lucy veut l'amour d'Alice, exclusif et si elle ne peut pas l'avoir ...
C'est un drôle de roman, angoissant ... Alice ressemble à la discrète deuxième Madame de Winter dans "Rebecca", de D. du Maurier, subjuguée par la gouvernante, Madame Danvers. Lucy est "le talentueux Mr Ripley" de P. Highsmith.Honnêtement, Alice m'a fait mal à coeur : elle se bat, mais Lucy est très douée et comment battre le diable quand, on est sans défense ?
Alice Shipley est à Tanger. Elle ne va pas très bien. Ses 2 parents sont décédés dans un accident de voiture lorsqu'elle était enfant. Elle est depuis comme sur une corde raide : délicate et peu sûre d'elle. Comme l'héroïne de Lewis Caroll, Alice va tomber dans le terrier du lapin et aller de surprises pas terribles en surprises terrifiantes, le tout sans pouvoir rien faire. Nous sommes dans les années 50 : bien que ses parents étaient fortunés, Alice est sous la tutelle de sa tante et ne percevra son capital qu'à ses 21 ans. Elle a épousé John Mac Allister, aux activités peu claires, mais dont le capital financier a fondu comme neige au soleil et qui vit donc aux crochets d'Alice. le couple ne fonctionne pas : John est absorbé par la ville interlope et Alice se sent étrangère : blonde aux yeux bleus et délicate créature.L'absence d'enfant dans le couple n'arrange rien. Alice se sent responsable. John va trouver ailleurs des amours plus exotiques et vibrantes.
L'arrivée à sa porte d'une ancienne camarade d'université, Lucy Mason, très femme fatale, va totalement bouleverser l'univers fragile d'Alice. Car Lucy est une prédatrice, une prédatrice extrêmement efficace, qui n'a rien à perdre et tout à gagner. Les jalons qu'elle avait posé à l'université, alors qu'elle était boursière, vont lui permettre d'arriver à ses fins et Lucy veut l'amour d'Alice, exclusif et si elle ne peut pas l'avoir ...
C'est un drôle de roman, angoissant ... Alice ressemble à la discrète deuxième Madame de Winter dans "Rebecca", de D. du Maurier, subjuguée par la gouvernante, Madame Danvers. Lucy est "le talentueux Mr Ripley" de P. Highsmith.Honnêtement, Alice m'a fait mal à coeur : elle se bat, mais Lucy est très douée et comment battre le diable quand, on est sans défense ?
