>
Critique de Sillybum
Toujours à la recherche d'un bouquin qui sort de l'ordinaire, celui-ci m'a tout de suite plus. La couverture donne envie de se jeter dans la lecture et le sujet… hé ! Forcément, ça dépend des lecteurs mais pour moi, rien de tel qu'un voyage au temps des freaks.
L'auteur nous entraîne dans une partie de sa vie (oui, oui, c'est une autobiographie) durant laquelle il a suivi, sur un coup de tête, une troupe de freaks. Il testera par curiosité différents métiers pour finalement se spécialiser comme avaleur de sabre et…de néon. Ma culture sur les freaks s'arrêtait à la superbe série « Carnival » de HBO et plusieurs fois je me suis retrouvé sur Internet à vérifier à quel point l'auteur était en train de m'embobiner. Après tout, une bonne partie du livre consiste à expliquer comment ils vendaient du rêve à leurs clients alors pourquoi pas aux lecteurs ? Pourtant, après recherches, il semblerait que derrière le côté romancé et parfois égocentrique du récit se trouve une description proche de ce qu'étaient capable de faire certains des performeurs de l'époque.
Notez le « égocentrique ». Si vous avez du mal à lire des récits où l'auteur se vante, ces mémoires risquent par moments de mettre votre patience à mal.
A travers la vie de nomade de Dan, on découvre aussi le rejet qui était vécu par les cirques, la peur de la différence dont pour le coup, je ne doute pas le moins du monde. Pourtant un doux vent de liberté souffle sur l'ensemble de ce livre qui se lit tout seul.
Pour ceux qui hésiteraient, après lecture, j'ai prêté ce livre à ma soeur qui n'a pas d'intérêt particulier pour cet univers et qui l'a elle aussi beaucoup apprécié.
L'auteur nous entraîne dans une partie de sa vie (oui, oui, c'est une autobiographie) durant laquelle il a suivi, sur un coup de tête, une troupe de freaks. Il testera par curiosité différents métiers pour finalement se spécialiser comme avaleur de sabre et…de néon. Ma culture sur les freaks s'arrêtait à la superbe série « Carnival » de HBO et plusieurs fois je me suis retrouvé sur Internet à vérifier à quel point l'auteur était en train de m'embobiner. Après tout, une bonne partie du livre consiste à expliquer comment ils vendaient du rêve à leurs clients alors pourquoi pas aux lecteurs ? Pourtant, après recherches, il semblerait que derrière le côté romancé et parfois égocentrique du récit se trouve une description proche de ce qu'étaient capable de faire certains des performeurs de l'époque.
Notez le « égocentrique ». Si vous avez du mal à lire des récits où l'auteur se vante, ces mémoires risquent par moments de mettre votre patience à mal.
A travers la vie de nomade de Dan, on découvre aussi le rejet qui était vécu par les cirques, la peur de la différence dont pour le coup, je ne doute pas le moins du monde. Pourtant un doux vent de liberté souffle sur l'ensemble de ce livre qui se lit tout seul.
Pour ceux qui hésiteraient, après lecture, j'ai prêté ce livre à ma soeur qui n'a pas d'intérêt particulier pour cet univers et qui l'a elle aussi beaucoup apprécié.
