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Critique de Maureenbooks
Une journaliste du paranormal qui ne crois pas aux rumeurs paranormales? C'est un comble...
Julia est une journaliste du paranormal qui, un jour, reçoit une étrange enveloppe contenant deux photos de la même personne semblant venir de
deux époques différentes. Restant septique, elle décide malgré tout de demander une interview de cette personne, à savoir le Conte Valsarad.
À son arrivée sur l'île reculée où il a élu domicile, l'ambiance sinistre de celle-ci lui saute aux yeux. Elle est loin de se douter de
l'histoire macabre qui entoure le Conte, un homme aux yeux verts hypnotiques.
Mais surtout du rôle qu'elle peut y jouer désormais, car tout repose sur ses frêles épaules...
Une rééadaption de conte sombre et magnifique. En effet, ne vous attendez pas à un conte de fée tout beau tout rose, où l'amour est sain,
beau et merveilleux. Ici c'est noir, prenant et émotif à souhait. La torture physique et psychologique , la haine viscérale entretenue au
fil des années et les tentations macabres font partie du récit .
Mais attention le tout écrit intelligemment, brillamment et surtout avec toutes les émotions qu'il faut. L'autrice a su choisir avec précaution
ses mots et les placer comme il le faut pour nous offrir ce conte magnifique et macabre à souhait.
J'ai adoré la tournure que l'autrice a donné à la captivité de Julia pour lui donner une ambiance glauque, où le syndrome de Stockholm pointe
le bout de son nez.
Côté personnage gros coup de coeur pour cet homme brut, au coeur lacéré à cause d'une malédiction ancestrale. Mais c'est surtout quand sa
carapace se met à se fragiliser que l'on se rends compte de sa solitude, de sa capacité à encaisser sans rien dire. Son charisme à faire
fondre les petites culottes ne l'a rendu que plus attirant encore.
Julia quant à elle, ne m'a pas plus touchée que cela. Alors certes elle subit tout au long du roman, la haine que peut entretenir le Conte mais
sa foi en l'amour, sa capacité à chercher plus loin le pourquoi du comment lui permet de se maintenir à flots malgré les réminiscences du Conte.
J'ai adoré l'ambiance sur l'île, glauque et sombre à souhait, où les roses plus magnifiques les unes que les autres poussent à chaque torture.
Au lieu de nous décrire une Bête maudite, l'autrice a fais le choix de nous incorporer une créature mythique, à savoir le Dragon.
D'ailleurs n'est-il pas magnifique sur cette couverture qui m'a de suite attiré l'oeil?
Le seul point noir relevé a été la fin que j'ai trouvé expéditive, j'aurai aimé qu'elle soit plus développée. Celle-ci donne l'impression
qu'on a balancé la scène pour combler un trou et c'est bien dommage. de plus, je la trouve très ouverte et j'espère secrètement avoir une
suite ou bien un spin-off.
En bref, un one-shot au contenant magnifique pour un contenu spectaculaire.
Julia est une journaliste du paranormal qui, un jour, reçoit une étrange enveloppe contenant deux photos de la même personne semblant venir de
deux époques différentes. Restant septique, elle décide malgré tout de demander une interview de cette personne, à savoir le Conte Valsarad.
À son arrivée sur l'île reculée où il a élu domicile, l'ambiance sinistre de celle-ci lui saute aux yeux. Elle est loin de se douter de
l'histoire macabre qui entoure le Conte, un homme aux yeux verts hypnotiques.
Mais surtout du rôle qu'elle peut y jouer désormais, car tout repose sur ses frêles épaules...
Une rééadaption de conte sombre et magnifique. En effet, ne vous attendez pas à un conte de fée tout beau tout rose, où l'amour est sain,
beau et merveilleux. Ici c'est noir, prenant et émotif à souhait. La torture physique et psychologique , la haine viscérale entretenue au
fil des années et les tentations macabres font partie du récit .
Mais attention le tout écrit intelligemment, brillamment et surtout avec toutes les émotions qu'il faut. L'autrice a su choisir avec précaution
ses mots et les placer comme il le faut pour nous offrir ce conte magnifique et macabre à souhait.
J'ai adoré la tournure que l'autrice a donné à la captivité de Julia pour lui donner une ambiance glauque, où le syndrome de Stockholm pointe
le bout de son nez.
Côté personnage gros coup de coeur pour cet homme brut, au coeur lacéré à cause d'une malédiction ancestrale. Mais c'est surtout quand sa
carapace se met à se fragiliser que l'on se rends compte de sa solitude, de sa capacité à encaisser sans rien dire. Son charisme à faire
fondre les petites culottes ne l'a rendu que plus attirant encore.
Julia quant à elle, ne m'a pas plus touchée que cela. Alors certes elle subit tout au long du roman, la haine que peut entretenir le Conte mais
sa foi en l'amour, sa capacité à chercher plus loin le pourquoi du comment lui permet de se maintenir à flots malgré les réminiscences du Conte.
J'ai adoré l'ambiance sur l'île, glauque et sombre à souhait, où les roses plus magnifiques les unes que les autres poussent à chaque torture.
Au lieu de nous décrire une Bête maudite, l'autrice a fais le choix de nous incorporer une créature mythique, à savoir le Dragon.
D'ailleurs n'est-il pas magnifique sur cette couverture qui m'a de suite attiré l'oeil?
Le seul point noir relevé a été la fin que j'ai trouvé expéditive, j'aurai aimé qu'elle soit plus développée. Celle-ci donne l'impression
qu'on a balancé la scène pour combler un trou et c'est bien dommage. de plus, je la trouve très ouverte et j'espère secrètement avoir une
suite ou bien un spin-off.
En bref, un one-shot au contenant magnifique pour un contenu spectaculaire.
