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Critique de Trollibi
"Entraînés par le flot de la vie, convaincus de ce que nous devons accomplir, il nous arrive de perdre quelqu'un en route...
Et ce quelqu'un, c'est nous ! Celui que nous sommes véritablement, pas celui que nous nous étions mis en-tête de devenir." (p.50)
Clémentine vit à Paris. Elle a l'impression qu'il manque quelque chose dans sa vie et qu'elle ne réussit rien. Pensez donc : elle est incapable de se lever à l'aube pour faire sa salutation au soleil, ne parvient pas à se concentrer quand elle médite et, le jour où elle décide de partir en retraite méditative avec un groupe de gens qu'elle connaît à peine, le bus repart sans elle alors qu'elle s'était rendue aux toilettes... Elle se retrouve seule sur le parking de l'épicerie bio et Antoine, le patron de l'épicerie l'invite à passer un moment avec lui. Clémentine va peu à peu s'ouvrir à une nouvelle manière de voir la vie et de se voir elle-même et surtout que « Nos manques nous obligent souvent à aller chercher en nous des ressources que nous ne soupçonnons pas." (p.32)
J'ai choisi de terminer l'année 2020 avec cette « BD Feel-Good » et elle m'a enchantée. « Le jour où le bus est reparti sans elle » est une vraie petite pépite. Point de grandes leçons nous invitant à changer ! Ce sont des petits morceaux de philosophie zen qui, mis bout à bout, nous invitent simplement à voir les choses avec un regard neuf. Je me suis surprise à sourire tout le long de ma lecture. le dessin est coloré, les traits léger et les planches de cette BD sont très jolies.
Un des personnages que Clémentine rencontre lors de ce week-end un peu particulier lui dit : "C'est bien de savoir saisir l'instant comme tu viens de le faire ! Il faut toujours privilégier ce qui est éphémère et précieux !" (p.35) C'est exactement ce que j'ai ressenti en refermant la BD : ma lecture n'a duré qu'un instant mais je suis ravie d'avoir pu le saisir.
Et ce quelqu'un, c'est nous ! Celui que nous sommes véritablement, pas celui que nous nous étions mis en-tête de devenir." (p.50)
Clémentine vit à Paris. Elle a l'impression qu'il manque quelque chose dans sa vie et qu'elle ne réussit rien. Pensez donc : elle est incapable de se lever à l'aube pour faire sa salutation au soleil, ne parvient pas à se concentrer quand elle médite et, le jour où elle décide de partir en retraite méditative avec un groupe de gens qu'elle connaît à peine, le bus repart sans elle alors qu'elle s'était rendue aux toilettes... Elle se retrouve seule sur le parking de l'épicerie bio et Antoine, le patron de l'épicerie l'invite à passer un moment avec lui. Clémentine va peu à peu s'ouvrir à une nouvelle manière de voir la vie et de se voir elle-même et surtout que « Nos manques nous obligent souvent à aller chercher en nous des ressources que nous ne soupçonnons pas." (p.32)
J'ai choisi de terminer l'année 2020 avec cette « BD Feel-Good » et elle m'a enchantée. « Le jour où le bus est reparti sans elle » est une vraie petite pépite. Point de grandes leçons nous invitant à changer ! Ce sont des petits morceaux de philosophie zen qui, mis bout à bout, nous invitent simplement à voir les choses avec un regard neuf. Je me suis surprise à sourire tout le long de ma lecture. le dessin est coloré, les traits léger et les planches de cette BD sont très jolies.
Un des personnages que Clémentine rencontre lors de ce week-end un peu particulier lui dit : "C'est bien de savoir saisir l'instant comme tu viens de le faire ! Il faut toujours privilégier ce qui est éphémère et précieux !" (p.35) C'est exactement ce que j'ai ressenti en refermant la BD : ma lecture n'a duré qu'un instant mais je suis ravie d'avoir pu le saisir.
