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Critique de Cyelle
Lors d'une pendaison de crémaillère, Capucine et Octave, trentenaires, sont les perdants d'un jeu dont le gage est de troquer leurs clés d'appartement parisien, le temps d'une nuit. Cette introduction et l'envie d'une lecture légère m'ont donné le goût à découvrir ce roman.
Un roman actuel, une romance sans aucune originalité. L'auteur dépeint une fresque, assez réaliste, d'une tendance sociétale, d'une catégorie sociale (les bobos parisiens, et ça marche aussi avec les bobos Lyonnais etc ;-)) sans bousculer les tabous.
Il est question de relations sentimentales, de personnages attachants et de Paris. Il y a ceux qui ont fait le choix d'une vie traditionnelle, celle de nos grands-parents ou peut-être encore parents. Puis ceux qui réinventent les codes, s'adaptent à un société et ses rythmes. Ils questionnent, ils ambitionnent une vie de frissons et de stimulation. Une jeunesse qui se précipite parfois alors qu'elle a l'avenir pour se construire. Quelle est la clé ?
Un roman actuel, une romance sans aucune originalité. L'auteur dépeint une fresque, assez réaliste, d'une tendance sociétale, d'une catégorie sociale (les bobos parisiens, et ça marche aussi avec les bobos Lyonnais etc ;-)) sans bousculer les tabous.
Il est question de relations sentimentales, de personnages attachants et de Paris. Il y a ceux qui ont fait le choix d'une vie traditionnelle, celle de nos grands-parents ou peut-être encore parents. Puis ceux qui réinventent les codes, s'adaptent à un société et ses rythmes. Ils questionnent, ils ambitionnent une vie de frissons et de stimulation. Une jeunesse qui se précipite parfois alors qu'elle a l'avenir pour se construire. Quelle est la clé ?
