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Critique de Binaiade
De quoi ça parle ?
Douglas, jeune homme noir et fils d'un grand directeur de Coca-Cola, reçoit un lettre de refus suite à sa candidature pour intégrer une prestigieuse école militaire. Intrigué par cette réponse négative sans raison apparente, il décide d'en savoir plus. Très vite il apprend que lors du Débarquement en Normandie, son grand-père alors soldat, a été pendu suite à une accusation de viol. Il découvre aussi l'existence d'une grand-mère, d'une tante et d'une cousine qu'il va rencontrer. Ces dernières vont lui faire part de leurs doutes quant à l'exécution de son grand-père. Douglas promet alors de mener son enquête pour prouver son innocence. Mais il va déterrer bien plus qu'un secret de famille...
Mon avis :
ENFIN ! J'ai cru ne jamais arriver au bout de cette lecture. Que Roger Martin me pardonne mais la seule chose que j'ai aimé dans son livre c'est le prologue, à savoir 17 pages sur 363. Les 346 autres ont été éprouvantes.... Rien ne m'a plu donc...
L'histoire originale que promettait la quatrième de couverture avait pourtant de quoi me mettre l'eau à la bouche, sur fond de racisme et d'Histoire, notamment sur une facette méconnue de la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement l'idée est si peu mise en valeur qu'elle en est inintéressante et ennuyeuse à mourir.
Aucun suspense, pas d'action, zéro surprise... Ah ça pour décrire ce que mange le personnage principal et l'itinéraire qu'il emprunte lors de son périple, Roger Martin répond présent, mais franchement je m'en fiche totalement de savoir qu'il tourne à droite avant de faire demi-tour sur le parking de l'église pour finalement bifurquer à gauche et nanani et nanana... Des passages comme ça il y en a à la pelle, quand je pense à tous ces pauvres arbres coupés pour toutes ces pages inutiles...
Donc non il ne se passe pas grand chose dans cette quête de vérité qui promettait d'être trépidante. Même le dénouement manque cruellement d'intérêt, c'est bateau et loin d'être crédible.
Les personnages ne sauvent pas ce livre du naufrage? Au final il y en a peu qu'on découvre vraiment. Douglas bien sûr, fils à papa qui tout à coup devient un héros défenseur des Noirs et Angela, Tracy et Rosa, trois femmes fortes et rebelles qui auraient mérité plus de place dans cette histoire. Vous verrez il y aura même une histoire d'amour, un véritable coup de foudre digne des Feux de l'Amour, mais je n'en dis pas plus, ce serait dommage de gâcher la surprise !
C'est donc avec soulagement que je quitte Douglas et sa grande enquête (pour dire, même celles de Derrick sont plus palpitantes...) qui m'aura rappelé qu'un livre peut sembler long, très long. Je me suis rarement autant ennuyée en lisant mais là c'est le pompon ! J'ai failli abandonner plus d'une fois. Alors sans mauvais jeu de mots, ne vous passez pas la corde autour du cou en débutant ce roman mais fuyez ! A moins que vous ne soyez passionnés par la gastronomie normande ou par les petits villages français...
Lien : https://www.facebook.com/178..
Douglas, jeune homme noir et fils d'un grand directeur de Coca-Cola, reçoit un lettre de refus suite à sa candidature pour intégrer une prestigieuse école militaire. Intrigué par cette réponse négative sans raison apparente, il décide d'en savoir plus. Très vite il apprend que lors du Débarquement en Normandie, son grand-père alors soldat, a été pendu suite à une accusation de viol. Il découvre aussi l'existence d'une grand-mère, d'une tante et d'une cousine qu'il va rencontrer. Ces dernières vont lui faire part de leurs doutes quant à l'exécution de son grand-père. Douglas promet alors de mener son enquête pour prouver son innocence. Mais il va déterrer bien plus qu'un secret de famille...
Mon avis :
ENFIN ! J'ai cru ne jamais arriver au bout de cette lecture. Que Roger Martin me pardonne mais la seule chose que j'ai aimé dans son livre c'est le prologue, à savoir 17 pages sur 363. Les 346 autres ont été éprouvantes.... Rien ne m'a plu donc...
L'histoire originale que promettait la quatrième de couverture avait pourtant de quoi me mettre l'eau à la bouche, sur fond de racisme et d'Histoire, notamment sur une facette méconnue de la Seconde Guerre Mondiale. Malheureusement l'idée est si peu mise en valeur qu'elle en est inintéressante et ennuyeuse à mourir.
Aucun suspense, pas d'action, zéro surprise... Ah ça pour décrire ce que mange le personnage principal et l'itinéraire qu'il emprunte lors de son périple, Roger Martin répond présent, mais franchement je m'en fiche totalement de savoir qu'il tourne à droite avant de faire demi-tour sur le parking de l'église pour finalement bifurquer à gauche et nanani et nanana... Des passages comme ça il y en a à la pelle, quand je pense à tous ces pauvres arbres coupés pour toutes ces pages inutiles...
Donc non il ne se passe pas grand chose dans cette quête de vérité qui promettait d'être trépidante. Même le dénouement manque cruellement d'intérêt, c'est bateau et loin d'être crédible.
Les personnages ne sauvent pas ce livre du naufrage? Au final il y en a peu qu'on découvre vraiment. Douglas bien sûr, fils à papa qui tout à coup devient un héros défenseur des Noirs et Angela, Tracy et Rosa, trois femmes fortes et rebelles qui auraient mérité plus de place dans cette histoire. Vous verrez il y aura même une histoire d'amour, un véritable coup de foudre digne des Feux de l'Amour, mais je n'en dis pas plus, ce serait dommage de gâcher la surprise !
C'est donc avec soulagement que je quitte Douglas et sa grande enquête (pour dire, même celles de Derrick sont plus palpitantes...) qui m'aura rappelé qu'un livre peut sembler long, très long. Je me suis rarement autant ennuyée en lisant mais là c'est le pompon ! J'ai failli abandonner plus d'une fois. Alors sans mauvais jeu de mots, ne vous passez pas la corde autour du cou en débutant ce roman mais fuyez ! A moins que vous ne soyez passionnés par la gastronomie normande ou par les petits villages français...
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