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Critique de Gwelan
La mort du clochard le Magounia et la découverte d'une fortune qu'il gardait caché, va faire remonter à la surface toutes les rancoeurs, les haines accumulées dans l'âme de habitants de ce petit village de Clérac. Et elles remontent à loin ces rancoeurs, la fin de la dernière guerre avec l'assassinat d'otages. Plus tard un "accident" qui n'en est pas tout à fait un et qui cloue un notable sur une chaise roulante. le combat ancestral entre deux familles, l'une noble et l'autre non qui se battent pour la mairie, un petit relent de Clochemerle ou de la Jument Verte qui aurait viré au drame le plus noir car ce pauvre Magoulian ne sera pas le seul a connaître la traversée du Styx.
Foch le patron de "l'oeuvre", organisation secrète, a flairé l'argent et a envoyé un de ses coureurs de nuit pour récupérer le magot et aussi essayer de débrouiller la situation. Saint-Sauveur se retrouve donc dans le seul hôtel de Clérac. Un étranger au village juste après cette histoire de magot et au moment où les lettres anonymes pleuvent il n'en faut pas plus pour déchainer la vindicte populaire.
Heureusement l'inspecteur de police Mignoni, chargé de l'enquête n'est pas tombé de la dernière pluie et si les deux hommes sont censés ne pas communiquer, petit à petit une certaine sympathie s'installe entre eux.
Un description crue de la vie d'un petit village perdu au fin fond de la France profonde, des personnages intéressants, une histoire qui ne traîne pas en longueur, il y a tout pour se plonger avec plaisir dans ce livre. Dans la lignée des autre romans de la série "Coureurs de nuit".
Foch le patron de "l'oeuvre", organisation secrète, a flairé l'argent et a envoyé un de ses coureurs de nuit pour récupérer le magot et aussi essayer de débrouiller la situation. Saint-Sauveur se retrouve donc dans le seul hôtel de Clérac. Un étranger au village juste après cette histoire de magot et au moment où les lettres anonymes pleuvent il n'en faut pas plus pour déchainer la vindicte populaire.
Heureusement l'inspecteur de police Mignoni, chargé de l'enquête n'est pas tombé de la dernière pluie et si les deux hommes sont censés ne pas communiquer, petit à petit une certaine sympathie s'installe entre eux.
Un description crue de la vie d'un petit village perdu au fin fond de la France profonde, des personnages intéressants, une histoire qui ne traîne pas en longueur, il y a tout pour se plonger avec plaisir dans ce livre. Dans la lignée des autre romans de la série "Coureurs de nuit".
