En ce jour anniversaire de la mort de Eva Duarte de Peron, je termine l'ouvrage
Santa Evita dont la lecture est passionnante. L'auteur n'ennuie jamais le lecteur et a l'ingénieuse idée de partir du cadavre de la 1ère dame, embaumé, objet de culte et transbahuté pendant de nombreuses années pour nous faire revivre un destin hors du commun. Un destin? Plutôt la résultante de choix. Comment ne pas rapprocher l'épopée de cette femme qui a régné 4 ans avec celui d'Héliogabale, l'empereur romain, 4 ans lui aussi? Tous deux absolument pas programmés pour laisser une place dans
L Histoire ou pour vivre intensément leurs passions. Cela interroge: vaut-il mieux vivre "à fond" pas longtemps ou petitement très longtemps?
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