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Critique de Yvan_T
Après la collection "Spider-Man - Les incontournables", qui revenait sur les meilleures aventures de Spidey, et la série "Marvel - Les Incontournables", qui mettait en scène les plus grands héros Marvel, voici déjà le deuxième tome de cette nouvelle série d'incontournables lancée par Panini. Notons que le deuxième tome de cette nouvelle collection, dont chaque tome mettra en scène Spider-Man accompagné d'un autre héros Marvel, est vendu avec un fascicule fac-similé pour moins de 7 Euros. Après Wolverine, c'est Daredevil qui est ici le nouveau compagnon de Spider-Man, alors que les suivants seront respectivement Hulk, les femmes fatales, les Fantastic Four, Iron Man, les X-men, Captain America, les Vengeurs et le Ghost Rider.
Le tome cartonné reprend tout d'abord la mini-série de quatre épisodes, «Unusual Suspects», datant de début 2001, écrite par Paul Jenkins et mise en images par Phil Winslade. Cette aventure qui se concentre sur un affrontement entre le Diable de Hell's Kitchen et l'homme araignée d'un côté et la pègre de l'autre, est plutôt sympathique. L'opposition des styles de Spider-Man et de Daredevil est plutôt amusante et résulte en quelques dialogues assez drôles. Outre l'apparition de nombreux vilains, dont l'incontournable Caïd, le Hibou et le Gladiateur, il faut également noter les couvertures d'Alex Ross, le roi du dessin photo-réaliste.
Et comme il restait un peu de place en fin d'album, l'éditeur a choisi d'y fourrer une histoire courte signée Ann Nocenti et John Romita Jr. Si cet épisode #270 de Daredevil (1°), datant de septembre 1989, met également en scène ce duo composé de Daredevil et Spider-Man, le ton du récit et le graphisme sont par contre trop différents du reste de l'album pour parvenir à former un tout homogène. Cette histoire qui voit le duo vedette affronter le fils du diable en personne n'est pas inintéressant, mais il dénote trop avec le reste et est beaucoup trop court pour pouvoir être apprécié pleinement.
Le fascicule fac-similé reprend quant à lui une histoire issue de la série Mythos, signée Paul Jenkins et Paolo Rivera. Outre le fait que Daredevil brille par son absence, cette revisite des origines de Spider-Man n'est vraiment pas très originale. Ce récit inédit constitue cependant une bonne introduction au personnage pour les néophytes et la plupart des planches de Paolo Rivera valent le détour.
Un deuxième album qui est déjà meilleur que le premier, mais pas encore top !
Le tome cartonné reprend tout d'abord la mini-série de quatre épisodes, «Unusual Suspects», datant de début 2001, écrite par Paul Jenkins et mise en images par Phil Winslade. Cette aventure qui se concentre sur un affrontement entre le Diable de Hell's Kitchen et l'homme araignée d'un côté et la pègre de l'autre, est plutôt sympathique. L'opposition des styles de Spider-Man et de Daredevil est plutôt amusante et résulte en quelques dialogues assez drôles. Outre l'apparition de nombreux vilains, dont l'incontournable Caïd, le Hibou et le Gladiateur, il faut également noter les couvertures d'Alex Ross, le roi du dessin photo-réaliste.
Et comme il restait un peu de place en fin d'album, l'éditeur a choisi d'y fourrer une histoire courte signée Ann Nocenti et John Romita Jr. Si cet épisode #270 de Daredevil (1°), datant de septembre 1989, met également en scène ce duo composé de Daredevil et Spider-Man, le ton du récit et le graphisme sont par contre trop différents du reste de l'album pour parvenir à former un tout homogène. Cette histoire qui voit le duo vedette affronter le fils du diable en personne n'est pas inintéressant, mais il dénote trop avec le reste et est beaucoup trop court pour pouvoir être apprécié pleinement.
Le fascicule fac-similé reprend quant à lui une histoire issue de la série Mythos, signée Paul Jenkins et Paolo Rivera. Outre le fait que Daredevil brille par son absence, cette revisite des origines de Spider-Man n'est vraiment pas très originale. Ce récit inédit constitue cependant une bonne introduction au personnage pour les néophytes et la plupart des planches de Paolo Rivera valent le détour.
Un deuxième album qui est déjà meilleur que le premier, mais pas encore top !
