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Critique de DawnG


DawnG
07 février 2013
Dans ce tome, deux histoires comme à chaque fois. Toujours très dures, car comment cela pourrait être autrement quand une personne n'a plus que 24h à vivre. La première n'est pas des plus originale mais permet d'en apprendre plus sur Fujimoto par association d'idées. Dans « la drogue d'amour pur » on découvre un couple en crise, le jeune homme se drogue avec la dernière pilule à la mode, pour réussir dans son travail et sa copine doit le couvrir de ses absences à cause des effets secondaires. Elle n'en peut plus. Alors qu'il a enfin la chance de faire son premier reportage comme réalisateur, il est éloigné de sa copine quand elle reçoit l'Ikigami? Décidera-t-il de la rejoindre ou le boulot passera avant tout ? En parallèle, on découvre que Fujimoto était en couple et qu'il vient de se retrouver seul, sa copine ne supportant plus son métier, le fait qu'il délivre « la mort », qui fait de lui un garçon triste et contrarié en permanence.

La deuxième histoire « Veille de départ au front » raconte la vie d'un jeune aide soignant, plus jeune il n'était pas bon à l'école mais il savait s'occuper de sa grand-mère, il décide de travailler comme aide soignant dans une maison de retraite. Il est très maladroit et n'a pas confiance en lui. Un jour, une vieille dame qui refuse de marcher le prend pour son mari (elle est revenu dans sa tête à l'époque où elle était jeune fille), il est donc désigné pour s'occuper d'elle dans l'espoir qu'elle accepte de remarcher. Mais ce jeune homme reçoit l'Ikigami. Que va faire cette vieille dame abandonné une deuxième fois (son époux n'est jamais rentré de la guerre) ? En parallèle, Fujimoto fait la connaissance d'une psychologue et est très troublé qu'elle est soit très détachée par rapport au cas qu'elle traite, puisqu'elle travaille au Centre d'aide pour ceux et leur famille qui reçoivent l'Ikigami.

Une nouvelle fois, Motorô Mase donne des exemples plus ou moins originaux de cas de réception d'Ikigami, il est donne envie à son lecteur d'en savoir plus sur cette loi de prospérité nationale et de suivre les réflexions de Fujimoto. Dans ce tome 2, on a l'impression qu'il s'interroge moins mais on sent qu'il a beaucoup de mal avec le métier.
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