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Critique de Takalirsa


Deux nouvelles histoires dans ce tome 3, à commencer par celle d'une mère ignoble qui a toujours fait passer la politique avant son fils et utilise le préavis de mort de celui-ci pour servir sa campagne électorale (« Mes discours auront plus d'impact »). Une fois de plus, l'épisode bouleverse Fujimoto (« Si l'ikigami n'existait pas, ça ne se serait pas terminé de façon aussi dramatique ») et l'amène à contester la loi de la prospérité de la nation : « On ne pourrait pas comprendre la valeur de la vie sans l'ikigami ? ». La mairie a d'ailleurs dû mettre en place des moyens supplémentaires car « les soins psychologiques à apporter à ceux qui sont désignés pour mourir sont plus importants d'année en année »…

La seconde histoire est très touchante : recevant l'ikigami, un frère décide de faire don de sa cornée à sa petite soeur aveugle. Fujimoto va aider le jeune homme à mettre en oeuvre son projet, ce qui lui vaut un blâme mais aussi le sentiment gratifiant d'avoir contribué à adoucir sa détresse (« Vous semblez avoir le coeur un peu plus léger »).
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