Après avoir montré deux adolescents totalement conditionnés par leurs parents lors du tome cinq et deux jeunes délaissés par leurs familles lors du tome six, celui-ci invite à suivre deux jeunes qui sont suffisamment encadrés par leurs proches et qui vivent pleinement leurs passions respectives.
Le premier est un fana de photographie et le second vie au rythme des danseurs de rue. Ils reçoivent tous les deux l'occasion de faire leur métier de leur hobby ... jusqu'à l'arrivée de l'ikigami ... qui va mettre fin à leurs rêves.
L'intrigue de fond, concernant le développement psychologique de Fujimoto et son total respect de la loi de prospérité nationale, n'est pas laissée en reste, avec l'arrivée d'une nouvelle cellule de contrôle pour les employés de la mairie.
Un bon tome !
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