Graphiquement intéressant, à la limite rageuse des escaliers d'
Escher.
Parfois poétiquement shakespearien,
Ou plus laconiquement beckettien.
Une confusion kafkaïenne,
Et l'implacable logique d'un onirisme Carrollien,
Font de ce deuxième volume un condensé d'immenses références,
Au milieu desquelles
Marc-Antoine Mathieu s'évapore…
(répétition sans évolution = assoupissement)
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