>
Critique de folivier
A force de dire et écrire au fil des albums que cet auteur est génial il va être très difficile de critiquer cet album tellement on atteint l'apothéose dans la série de Julius Corentin Acquefacques. La troisième dimension d'un dessin c'est la perspective construite autour de la ligne d'horizon et des points de fuites. Mais que se passe t-il si l'un des points de fuite a disparu ou est mal réglé ? C'est la base de ce cinquième volume des aventures de Julius Corentin. Son monde a perdu, enfin pas complètement, une dimension. Il faut retrouver le point de fuite. C'est l'occasion pour Marc Antoine Mathieu de délirer génialement sur des mondes parallèles, des planètes, constitués des différents monde créés par les auteurs de bande dessinée. Julius Corentin va atterrir dans un monde en 3 dimensions. Et là coup de génie de l'auteur, ce n'est encore une fois qu'une illusion d'optique, une réalité virtuelle... Comme dans les albums précédents, une surprise attend le lecteur dans la conception graphique et la réalisation de cet album. Ce dernier album est un feu d'artifice qui conclut la série génialement (eh bien si je l'ai redis !)
