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Critique de hanyrhauz
Fortes de notre première lecture commune de l'avent, @eva_tuvastabimerlesyeux @point.a.laligne @chroniquesessentielles et moi sommes partie en décembre en terres ukrainiennes avec ce recueil de nouvelles conseillé par @histoiresdemots Comme l'an dernier, une à deux nouvelles par jour du 1er au 24 décembre.
Bon, ça c'est la théorie. En pratique... c'est un peu autre chose, il faut bien l'admettre. Nous somme, certes, des adeptes de lectures communes, de bingo littéraires et de contraintes de lecture en tout genre, mais entre ce livre et nous, la rencontre n'a pas été celle espérée. Je laisserai mes comparses de lecture donner leurs avis mais pour ma part, il m'a manqué pas mal de choses. du coffre, du coeur, de la densité. Les personnages me semblent assez peu détaillés ne leur permettant pas de s'incarner totalement.
Sauf Frère Bègue. Ce moine m'a tout de suite plu. Pas si simple d'esprit qu'il n'y paraît, il est pleinement connecté à la vierge Marie et couvert de roses magiques. Assez étonnement (ou pas d'ailleurs, c'est sûrement de saison), les nouvelles ayant trait à la religion catholique me parlent plus. C'est surtout parce que les personnages, je les connais déjà. Mention spéciale pour Marie-Madeleine (oserais-je un big up ?) et une nouvelle très sensible.
Pour ce qui est du reste, des textes un peu décousus, sans véritables chutes. Quelques jolies découvertes. Mais pas de réelles pépites.
Alors, je me retrouve à l'embarquer dans mon quotidien sans avoir envie de tenir le rythme pourtant léger de quelques nouvelles par jour. Je finis par le lire un peu en bloc. Mais je l'ai terminé le 24, le jour J avec mon thé du 24 (j'ai déjà parlé de ma passion pour les calendriers de l'avent ?)
Il me restera un plaisir toujours marqué de ces lectures entre filles où l'on parle du livre mais pas seulement. de cette couverture rose et bleue, intrigante et psychédélique qui a décoré mon appart au même titre que mon sapin. Et d'un livre fil rouge qui fait de décembre un moment à part.
Il y a une candeur dans ces nouvelles qui donne le ton à cette période de Noël. Peut-être trop pour quelqu'un qui navigue toute l'année dans des eaux littéraires plus troubles.
Bon, ça c'est la théorie. En pratique... c'est un peu autre chose, il faut bien l'admettre. Nous somme, certes, des adeptes de lectures communes, de bingo littéraires et de contraintes de lecture en tout genre, mais entre ce livre et nous, la rencontre n'a pas été celle espérée. Je laisserai mes comparses de lecture donner leurs avis mais pour ma part, il m'a manqué pas mal de choses. du coffre, du coeur, de la densité. Les personnages me semblent assez peu détaillés ne leur permettant pas de s'incarner totalement.
Sauf Frère Bègue. Ce moine m'a tout de suite plu. Pas si simple d'esprit qu'il n'y paraît, il est pleinement connecté à la vierge Marie et couvert de roses magiques. Assez étonnement (ou pas d'ailleurs, c'est sûrement de saison), les nouvelles ayant trait à la religion catholique me parlent plus. C'est surtout parce que les personnages, je les connais déjà. Mention spéciale pour Marie-Madeleine (oserais-je un big up ?) et une nouvelle très sensible.
Pour ce qui est du reste, des textes un peu décousus, sans véritables chutes. Quelques jolies découvertes. Mais pas de réelles pépites.
Alors, je me retrouve à l'embarquer dans mon quotidien sans avoir envie de tenir le rythme pourtant léger de quelques nouvelles par jour. Je finis par le lire un peu en bloc. Mais je l'ai terminé le 24, le jour J avec mon thé du 24 (j'ai déjà parlé de ma passion pour les calendriers de l'avent ?)
Il me restera un plaisir toujours marqué de ces lectures entre filles où l'on parle du livre mais pas seulement. de cette couverture rose et bleue, intrigante et psychédélique qui a décoré mon appart au même titre que mon sapin. Et d'un livre fil rouge qui fait de décembre un moment à part.
Il y a une candeur dans ces nouvelles qui donne le ton à cette période de Noël. Peut-être trop pour quelqu'un qui navigue toute l'année dans des eaux littéraires plus troubles.
