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Critique de Alfaric


Dans ce tome 5, nous suivons en parallèle Daiba toujours en cavale qui en plein survival horrifique enquête sur les Sylivdres dans la jungle du Yucatan avant d'être secouru par Maya et Zéro, et la team Albator qui enquête sur les Sylvidres dans les ruines de Vénus avant un tête à tête musclé entre notre antihéros romantique et leur inhumaine impératrice dans la plus belle tradition du cape et épée (enfin plutôt du Sword & Laser, parce que les personnages féminins de Leiji Matsumoto ont toute passé le cap du women's lib ^^)...
Daiba et Albator veulent comprendre l'ennemi de l'humanité : d'où viennent-elles ? qui/que sont-elles ? que veulent-elles ? Un peu de métaphysique dans l'opposition entre les deux peuples : des végétales collectivistes qui se ont répandues dans toute le galaxie et dont la civilisation s'est étendue sur des dizaines voire des centaines de millions d'années, opposées à des animaux individualistes qui se répandent dans toute la galaxie et dont civilisation s'étend sur quelques milliers d'années seulement... L'humanité n'est-telle qu'une mauvaise herbe ayant germé à partir d'une graine déviante de la civilisation sylvidre ?
Encore plein de foreshadowing : Arcadia, Death Shadow, Bataillon Gaïa, Cosmo Dragoon, le Chevalier Faust (qui ressemble à notre Belphégor national ^^), Empire des Machines, Empire des Illumidas, Tokarguiens (qui ressemblent qui jamais aux Sontariens de la série anglaise culte "Doctor Who")... Il y a toujours la chouette scène d'action et le cliffhanger qu'il faut pour ne pas s'ennuyer, mais j'ai l'impression d'être dans un éternel recommencent du tome exposition et que l'intrigue n'a pas encore réellement démarré malgré les dessins de toute beauté de Kouiji Shimaboshi...
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