Cette BD fait partie de la collection "Rivage/Casterman/Noir" dont l'objectif est l'adaptation, avec plus ou moins de bonheur, de polars transposés en planches dans un format de 26 cm.
Parmi
Michael Dibdin,
Dennis Lehane ou
Elmore Leonard, on trouve donc cet opus signé
Daniel Chavarria, mis en images par
Paolo Bacilieri sur un scénario retravaillé par Matz.
L'originalité même de l'histoire reste très modeste pour le genre et même si l'on est parfois surpris par la tournure qu'elle emprunte, le résultat final ne parvient pas à décoller. C'est racoleur et un peu trop facile pour qu'on en garde des traces. Au niveau graphique, là encore cela reste très classique avec un dessin qui se borne à illustrer le propos plutôt qu'à exister par lui-même.
Au final, une BD tout à fait dispensable en ce qui me concerne.
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