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Critique de JunoR
Un tome très curieux, très inégal. le rythme y est changeant, irrégulier, parfois haletant ou très émouvant, parfois difficile à suivre, parfois long et ennuyeux... Il semble indigne de la maturité littéraire de cet auteur septuagénaire ou son âge est-il justement la cause de ce tome décevant? C'est d'ailleurs le dernier volume de sa Ballade qu'Anne McCaffrey écrira seule, confiant la tâche à son fils de finir son histoire, sous sa supervision.
Il y a de très bonnes choses dans ce tome et je ne redirai jamais assez à quel point j'aime la manière dont l'auteur gère le passage du temps et la succession des générations dans l'ensemble de sa série.
Il y a aussi certains passages qui m'ont rendue très perplexe. La question du consentement sexuel, tout particulièrement, est soulevée de manière très explicite, manifestement dans un but militant. Mais malheureusement, les réponses apportées par le livre sont très insatisfaisantes et presque choquantes selon nos standards actuels. Elles couvrent ce tome d'un voile de poussière archaïque inattendu de la part de cet auteur précurseur de la fantasy, féministe d'avant-garde et soixante-huitarde à la mode américaine... Même si ce tome a été écrit en 2001, son auteur est né en 1926 et ça se sent tout particulièrement. Dommage...
Il y a de très bonnes choses dans ce tome et je ne redirai jamais assez à quel point j'aime la manière dont l'auteur gère le passage du temps et la succession des générations dans l'ensemble de sa série.
Il y a aussi certains passages qui m'ont rendue très perplexe. La question du consentement sexuel, tout particulièrement, est soulevée de manière très explicite, manifestement dans un but militant. Mais malheureusement, les réponses apportées par le livre sont très insatisfaisantes et presque choquantes selon nos standards actuels. Elles couvrent ce tome d'un voile de poussière archaïque inattendu de la part de cet auteur précurseur de la fantasy, féministe d'avant-garde et soixante-huitarde à la mode américaine... Même si ce tome a été écrit en 2001, son auteur est né en 1926 et ça se sent tout particulièrement. Dommage...
