Je pleure encore la beauté du monde, ce n'est pas juste un roman qui parle d'écologie, de ré-ensauvager Highlands écossais pour lutter contre le réchauffement climatique.
C'est aussi une histoire de liens : entre deux soeurs qui essaient de se sauver l'une l'autre et de se reconstruire, entre deux mondes qui se confrontent avec violence, entre les Hommes et les loups, entre la haine, la peur et l'amour.
L'autrice glisse un peu de tout dans son roman : avec une intrigue polar qui vient s'ajouter au fil de l'histoire pour notre plus grand plaisir. On piste, on essaie de reconstruire la toile du passé pour comprendre le présent.
Entre instinct de protection et violence de la réalité, ce récit est fort.
La fin est un peu "facile" à mon goût, mais ça ne vient pas entacher le reste de l'histoire.
Commenter  J’apprécie         30