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Critique de mauriceandre
Salut les Babelionautes
Je connaissais Fiona McIntosh pour avoir lu et beaucoup aimé sa trilogie le Dernier Souffle donc j'ai attaqué celle ci confiant.
Pourtant j'ai vite déchanté, car c'est une énième version d'un scénario que l'on retrouve dans beaucoup d'oeuvre.
Une Déesse en conflit avec un Dieu qui s'affronte depuis la Nuit des temps, un Esclave qui gagne sa liberté dans un combat, un Nain dans le rôle du fou du Roi et une jeune orpheline trouvé dans le désert après une tempête de sable.
Ce sont des personnages qu'on a coutume de rencontrer en Fantasy.
Mais tout ça ne fait pas une bonne histoire, la seule chose qui m'a intéressé c'est le Harem, inspiré du Palais Topkapı a Istanbul.
Pour cadre a son récit, Fiona McIntosh a imaginé un port doublé d'une Ville qu'elle a nommée Percheron.
J'ai fait une recherche pour savoir si c'est un défaut de traduction, Mais non! c'est bien le nom de la trilogie en Anglais.
Malgré tout, j'ai suivi avec plaisir ce premier tome, j'espère que la suite sera plus tourné vers l'action car les intrigues du Harem couvre plus de la moitié des 500 pages qu'il contient.
Merci a Isabelle Pernot pour sa traduction.
Je connaissais Fiona McIntosh pour avoir lu et beaucoup aimé sa trilogie le Dernier Souffle donc j'ai attaqué celle ci confiant.
Pourtant j'ai vite déchanté, car c'est une énième version d'un scénario que l'on retrouve dans beaucoup d'oeuvre.
Une Déesse en conflit avec un Dieu qui s'affronte depuis la Nuit des temps, un Esclave qui gagne sa liberté dans un combat, un Nain dans le rôle du fou du Roi et une jeune orpheline trouvé dans le désert après une tempête de sable.
Ce sont des personnages qu'on a coutume de rencontrer en Fantasy.
Mais tout ça ne fait pas une bonne histoire, la seule chose qui m'a intéressé c'est le Harem, inspiré du Palais Topkapı a Istanbul.
Pour cadre a son récit, Fiona McIntosh a imaginé un port doublé d'une Ville qu'elle a nommée Percheron.
J'ai fait une recherche pour savoir si c'est un défaut de traduction, Mais non! c'est bien le nom de la trilogie en Anglais.
Malgré tout, j'ai suivi avec plaisir ce premier tome, j'espère que la suite sera plus tourné vers l'action car les intrigues du Harem couvre plus de la moitié des 500 pages qu'il contient.
Merci a Isabelle Pernot pour sa traduction.
