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Critique de Sydola
Ce roman retrace la vie de Béryl Marleham au Kenya. Parcours d'une femme atypique au début du 20eme siècle.
Cette femme, abandonnée à l'âge de 4 ans est élevée par son père,entraîneur de chevaux de course. Elle vivra sa vie hors des conventions sociales de son époque, son caractère plutôt fort et indépendant ne lui rendra pas l'avoir facile mais sa vie en sera d'autant plus riche.
On pourrait s'étonner du titre choisi car ce métier est une des expériences qu'elle vivra mais pas la plus importante mais quand on replace cela dans le contexte de l'époque ça peut se comprendre.
J'ai beaucoup aime ce livre pour le côté pionnier de cette femme qui n'a pas hésité à braver les conventions pour satisfaire ses envies et choix de vie.
Ce roman pourrait être un bon soutien pour les jeunes femmes qui se cherchent.
Cette femme, abandonnée à l'âge de 4 ans est élevée par son père,entraîneur de chevaux de course. Elle vivra sa vie hors des conventions sociales de son époque, son caractère plutôt fort et indépendant ne lui rendra pas l'avoir facile mais sa vie en sera d'autant plus riche.
On pourrait s'étonner du titre choisi car ce métier est une des expériences qu'elle vivra mais pas la plus importante mais quand on replace cela dans le contexte de l'époque ça peut se comprendre.
J'ai beaucoup aime ce livre pour le côté pionnier de cette femme qui n'a pas hésité à braver les conventions pour satisfaire ses envies et choix de vie.
Ce roman pourrait être un bon soutien pour les jeunes femmes qui se cherchent.
